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Quelle action publique pour l’environnement ?

Synthèse : Quelle action publique pour l’environnement ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  6 Avril 2024  •  Synthèse  •  5 486 Mots (22 Pages)  •  132 Vues

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AUGNET

Zoltan

1°A

Quelle action publique pour l’environnement ?

Les questions environnementales sont au cœur de la société d'aujourd'hui. De nombreux scientifiques, experts ou politiciens mettent l'accent sur les questions environnementales et sur la nécessité d'une action publique rapide et efficace. Ces préoccupations environnementales portées le plus souvent par les nouvelles générations, à l’image de, qui reproche aux institutions et aux gouvernements une inaction aux problèmes que l’on connait tous : le réchauffement climatique, la surexploitation de ressources naturelles, la biodiversité en danger, etc. Les questions environnementales sont donc bien au premier plan de la science politique, de la sociologie et de l’économie. Mais plus qu’une action publique, il est souvent très difficile de réunir ces branches pour résoudre ce problème environnemental. Selon le groupe de réflexion Global Footprint Network, « l’humanité utilise actuellement autant de ressources écologiques que si nous vivions sur 1.75 Terre. Ce regroupement d’experts indépendants fixe ainsi le jour du dépassement au 29 juillet de l’année : à cette date, l’humanité est supposée avoir consommé l’ensemble des ressources que la planète est capable de régénérer en un an ». Il faut ainsi trouver une solution viable dans le temps. Cet indice nous alerte alors à la question : Quelle action publique pour l’environnement ?  Nous allons aborder les quatre thèmes suivants pour tenter de répondre à cette question.

  • La lutte des autorités pour l'environnement est le résultat de l'agenda politique de divers acteurs. Ils peuvent travailler ensemble, mais ils peuvent aussi entrer en conflit. 
  • La protection de l'environnement peut être réalisée à différents niveaux de l'action publique, du local à l'international.
  • Les gouvernements disposent de trois outils principaux pour lutter contre le réchauffement climatique : les réglementations, les taxes et leurs conséquences et les subventions 
  • Ces échecs sont également visibles dans les négociations internationales sur le changement climatique. Le climat est un intérêt commun qui nécessite la coopération des États.1

« La crise climatique est à la fois la question la plus facile et la plus difficile à laquelle nous n’avons jamais été confrontés. »

- Greta Thunberg

  1. Les organisations non gouvernementales (ONG)2

Les ONG (organisation non gouvernementale) jouent un rôle fondamental dans la société. Alors qu’une myriade d’ONG à différente échelle existe, ils ont tous un rôle spécifique et particulier. Face aux États en décroissance économique, qui ont tendances a effectué un rétrécissement des espaces régaliens, les ONG remplissent alors les vides créent par ces États. Ces acteurs, dit non étatiques, peuvent prendre une forme de structure globale ou transnationales telles que « Save the Children, Amnesty International ou Greenpeace ». De nos jours, beaucoup d’ONG multiplient leurs rôles au sein de la société qui maximise leurs fonctions en élargissant leurs espaces d’actions et en conséquence adaptent leurs milieux (économie sociale et solidaire). Ils peuvent devenir ensuite des ONG multibandes. Les ONG viennent à exercer en quelque sorte un rôle de sentinelle. Leur mission auto-octroyée est de surveiller les engagements internationaux et d’assurer le bon déroulement de ces conventions étatiques ou même mondiales, telles que des conférences aux Nations Unies. Grâce à leurs activités vraiment divers tels que les pétitions, manifestations ou bien même des participations à des instances de négociation au niveau local ou national. Nous pouvons même souligner l’aspect emblématique de la présence des ONG aux conférences consacrées au changement climatique. Multiples ONG sont présentes tout autant dans les médias que dans les coulisses qui souligne et qui met en valeur leur travail sur le terrain. Alors que leurs influences n’ont pas su défendre et maintenir la conférence de Copenhague en 2009, leur investissement lors de la Conférence de Paris en 2015 (nommé COP21) ne peut pas être négligé. Alors que leur rôle est reconnu par divers États et a même été souligné par les Nations Unies, il est tout de fois impossible a évalué leurs rôles dans les accords environnementaux. Parmi leurs actions environnementales les plus mémorables, on trouve l’instauration de quotas de pêche dans la Méditerranée causée par une alerte de diminution des stocks de Thon rouge.

  1. Les mouvements citoyens

Ces derniers temps, on peut remarquer une hausse de mobilisation citoyenne. Ils contribuent à la question environnementale en alertant le grand public aux problèmes. En 2018, Greta Thunberg organise une mobilisation massive de la jeunesse pour souligner l’inaction des gouvernements. Cette jeune Suédoise qui avait organisé une grève des cours dans les écoles. Elle s’est fait entendre sur une échelle mondiale. D’autres associations, tels qu’Extinction Rébellion, a organisé quelques mobilisations moins pacifiques que celle de la jeune activiste. En 2020, par exemple, ils ont tout d’abord organisé une mobilisation sur les pistes de l’aéroport d’Orly, puis quelques mois après, un blocage de la production à plusieurs sites Lafarge… Ils provoquent une déviance pour freiner et sensibiliser les désastres écologiques actuels. Un mouvement citoyen peut aussi prendre la forme d’une épreuve politique. À l’image de 2019, à l’initiative du gouvernement, ils ont tiré 150 citoyens au hasard qui a ensuite débattu puis préparé un projet de loi pour lutter contre le dérèglement climatique. Leurs idées ont été regroupés au projet de loi « Climat et Résilience » et a été débattu par les parlementaires en 2021.

  1. Les entreprises

Lorsque l’on arrive aux entreprises lors de la question écologique, elle est toujours source de controverse. L’antithèse majeure contre eux sont les catastrophes technologiques créé par ces derniers, quelques exemples parmi les plus marquants sont Tchernobyl en 1986 ou Fukushima en 2011. Néanmoins, bien que de nombreux d’entre eux s’opposent aux mesures environnementales, ils ont été en grande partie contre les pollutions atmosphériques (modification de la composition de l’air par des polluants nuisibles dans l’environnement). Une évolution est remarquée depuis les années 1990 lorsqu’un nombre d’entre eux tiennent compte des enjeux environnementaux. La notion de « Responsabilité Sociétale des Entreprises » (RSE) cherche à intégrer des « préoccupations sociales et environnementales » Pour certaine entreprise dans le domaine industriel qui considère que la mise en œuvre de ces mesures sont des obstacles à la compétitivité et mettent en place, dans une logique publicitaire, le « Greenwashing » (angl. éco-blanchissement) qui est du marketing frauduleux à propos de leur pollution.

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