Dissertation sur le numérique dans l'emploi

LE NUMÉRIQUE : CHANCE OU MENACE POUR L’EMPLOI

https://www.contrepoints.org/2016/02/03/237476-le-numerique-est-il-une-chance-ou-une-menace-pour-le-travail

https://ses.ens-lyon.fr/articles/emploi-chomage-et-travail-a-lere-du-numerique

http://pinguet.free.fr/cetterevonum.pdf

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https://france.attac.org/nos-publications/les-possibles/numero-27-printemps-2021/dossier-numerisation-et-transformation-des-rapports-sociaux/article/le-teletravail-avant-pendant-et-apres-la-pandemie-de-covid-19*

https://www.sfrbusiness.fr/room/communications-unifiees/teletravail-bilan-et-perspectives.html#:~:text=En%20France%2C%2047%25%20des%20entreprises,moins%20une%20journ%C3%A9e%20par%20semaine.

INTRO :

Le numérique, soit toutes les applications qui utilisent un langage binaire qui classe, trie et diffuse des données, prend de plus en plus de place dans le monde actuel puisqu'on parle même de révolution numérique.L’essor du numérique n’est pas sans conséquences sur le travail et son organisation et donc sur l’emploi qu’on définit comme le cadre juridique qui structure le travail donc les contrats, les salaires, les horaires etc. Mais représente il une chance ou une menace pour celui- ci ? Nous allons vous montrer ses impacts positifs puis ses impacts négatifs sur l'emploi.

I.                   LE NUMÉRIQUE : CHANCE POUR L’EMPLOI

A.                 AUTONOMIE capu

Aujourd’hui, la technologie est partout dans notre quotidien.
Au sein des entreprises, le numérique a pris une place très importante et ne pas y avoir accès est un véritable handicap dans un contexte de numérisation croissante des activités.

Avoir accès au numérique dans l’emploi est alors devenu essentiel. Tous les employés travaillent aujourd’hui sur un ordinateur (fournis par l’ent), possibilité de se contacter rapidement et se transmettre des dossiers, et cela créer une meilleure autonomie de l’employé.

La ministre du travail et de l’emploi Myriam El Khomri, s’est exprimée sur ce sujet il y a de cela plusieurs années :

Pour elle, avec toutes ces technologies permises et à disposition aujourd’hui les entreprises doivent former leurs employés, afin qu’ils ne deviennent pas obsolètes et que leurs parcours soient sécurisés, et une protection des travailleurs indépendants devrait être instaurer pr meilleure autonomie.

Par la suite, attacher les droits à l’individu et non plus au statut au sein de l’entreprise pourrait également engendrer plus d’autonomie pour l’employé, qui se verrait récompensé pour son travail effectué, et non que pour sa place.

Pour illustrer tout ça, prenons un exemple concret :

En CDI dans un groupe, qqn souhaite se lancer dans la création de sa propre entreprise : prise de risques réelle, comme perdre toute source de revenu, que l’entreprise ne fonctionne pas et se retrouver au chômage.

Et bien si aujourd’hui les droits sont attachés à une personne et non plus à son statut, cela permettrait de renforcer et de consolider d’autant plus l’expérience entrepreneuriale.

Afin d’inciter leurs employés à se lancer sans avoir peur, certaines entreprises ont mis en place certains moyens, comme surveiller les projets, et accompagner les employés tout du long à l’intérieur ou à l’extérieur de l’entreprise, et c’est comme ça qu’ils peuvent par la suite devenir plus autonomes.

Des entreprises ont déjà testé l’expérience.

Exemple d’ENGIE

= encourage et mobilise ses employés pour se lancer dans l’aventure.

Les projets de collaborateurs ont été faits de sorte à ce que ça permette aux salariés qui le voulaient de conduire leur propre projet tout en restant salarié du groupe, ou alors de créer une entreprise dans laquelle Engie aurait des parts.

Et si l’expérience n’est pas concluante, les employés peuvent réintégrer leur poste à temps plein.

Grâce à cela, y’a un développement des petites entreprises, les employés sont soutenus dans toutes les situations et gagnent leur indépendance pour certains.  

Au final, le numérique permet non seulement d’obtenir de nouvelles qualifications, mais c’est grâce à ces qualifications que les individus peuvent par la suite devenir plus autonome.

B.                 TÉLÉTRAVAIL

Les technologies de l’information et de la communication comme l'ordinateur portable ont permis le développement du télétravail, qui consiste à ce que le salarié puisse travailler à distance. Ainsi, il offre de nombreux avantages tels que l’autonomie, réduction du temps de transport, de la fatigue et des coûts liés aux trajets domicile-travail, baisse de l’absentéisme par exemple. Cette manière de travailler n’est entré dans le code du travail seulement avec la loi du 29 février 2012, cela fait donc à peine 10 ans. Selon celui-ci,pour être juridiquement encadré, le télétravail devait être volontaire et mis en place dans le cadre du contrat de travail ou d’un avenant à celui-ci.  Mais l'ordonnance “Macron” du 24/09/2017 a assoupli le régime juridique, en effet elle a permis d'étendre le champ du télétravail à une pratique occasionnelle mais aussi d’assouplir la formalisation nécessaire à sa mise en œuvre. Mais le télétravail a connu un essor plus que considérable durant la pandémie. On peut le voir ici : 

[pic 1]

Ainsi, aujourd’hui le télétravail s’est démocratisé puisque selon un baromètre dévoilé par JLL, 55% de la population active travaillerait ainsi au moins une journée par semaine. De plus, il s’ouvre de plus en plus au grand public puisque Les télétravailleurs étaient majoritairement des cadres (61%) et plus nombreux dans les métiers de l’informatique et de la télécommunication alors qu’aujourd’hui beaucoup de professions peuvent se tourner vers le télétravail.

C.                 L’HYBRIDATION DU PARCOURS/flexibilité du parcours

La révolution du numérique offre également ce que l’on appelle une “hybridation” ou flexibilité du parcours.

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