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Violence conjugale subie par les hommes

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Par   •  1 Juin 2019  •  Guide pratique  •  2 120 Mots (9 Pages)  •  581 Vues

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Homme battus entre mépris et stigmate

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Je me souviens encore de ces deux situations ou gêner je n’ai trouvé d’autre rempart que la moquerie. Ce jour où j’ai su que cette homme était un homme battue on était plusieurs et il était là ce faisant chambrée. J’étais une adolescente à l’époque et je ne pouvais pas prendre cette situation au sérieux me disant il est plus grand et plus fort que sa campagne. S’il se fait frapper c’est qu’il le veut bien ? La seconde situation c’est en passant devant une rare association d’homme battue (d’ailleurs la seul que j’ai vue de ma vie) ma cousine et moi nous nous sommes esclaffer se moquant de cette espace et des hommes qui devait s’y rendre.

Maintenant avec l’âge et la maturité j’analyse que ces réactions n’était pas anodine. Pas une seconde je n’ai considéré ces hommes comme des victimes. Aucune reconnaissance de ce statut ni de leurs souffrance et pourquoi ? Qu’est ce qui dans le fait qu’un homme qui subit des violences conjugale provoque en moi et dans la société ce type de réaction d’incompréhension. Pour ma part je ne voulais pas ni voire, ni entendre la réalité de leurs situation  Mais il y’a quand même un malaise pourquoi quand on m’a demandé de me poser un questionnement j’ai pensé à cela c’est que quand même m’on attitude de l’époque ma poser question et que j’aimerais comprendre les enjeux liée à celle-ci.

Pourquoi les hommes victimes de violence conjugale sont-ils stigmatiser ?

« La violence conjugale est un processus de domination sexiste qui s’exerce dans le cadre familial, elle désigne les actes de violences commises au sein du couple par l’un des conjoints sur l’autre ». La stigmatisation pour sa part est « un processus qui, à terme, marque l'individu ou le groupe d'un opprobre. Les stigmatisés sont ceux et celles qui subissent une réprobation sociale parce qu'ils auraient contrevenu à une loi ou une norme sociale; ils sont vus comme étant déviants. »

« Les normes sociales qui se  réfèrent à une façon de faire ou d'agir, une règle de conduite tacite ou écrite, qui a prévalence dans une société ou un groupe social donné. Elle est légitimée par des habitudes, des valeurs, des croyances partagées au sein d'un collectif donné, ainsi que par le contrôle social exercé ». On se rend compte qu’il y’a aussi dans cette affaire une question de genre, de stéréotype de genre et de problèmes éducationnels. Donc les hommes dans ce type de situation n’aurait donc pas joué leurs rôle d’homme et respecter les attendu liée à ce statut de mal.

A qui profite le crime ? Qui a intérêts à ce que ce sujet soit balayer sous le tapis ni vue, ni connue. Est-ce les hommes victimes qui de par leurs sentiment de honte souhaiterais peut-être passé inaperçue pour pouvoir se reconstruire ou est-ce leurs femmes ces conjointes violentes qui par cela minimiserais leurs actes ou est-ce la société qui le préfère ? Certaine association féministe préfère clairement que ce sujet ne soit pas traité de peur d’un évincement de la situation des femmes.

Cette question des hommes violenté fait partie de ces sujets tabou ce qu’on cache ni vue ni connue sous le tapis une représentation tenaces. Très peu d’étude scientifique ou de témoignage, ou de médiatisation voire prévention sur le sujet. Cela m’interpelle car des chiffres même modérer existe par exemple 250 000 hommes battu selon l’étude américaine de Steinmetz en 1977 elle proclame que c’est « un crime sous-estimé ».Pour la France  Mais alors pourquoi les autorités, les médias ne s’emparent de ce sujet. Cela ne ferait-il pas assez vendre ou est-ce juste à cause du désintérêt collectif sur le sujet.

En Belgique l’affaire est prise au sérieux avec l’ouverture d’une maison pour homme battu. La reconnaissance (le fait d’admettre la légitimité de quelqu’un ou de quelque chose) est un des mots-clés pour ces victimes le graal suprême à acquérir. Il est important que toute victime soit reconnue pour pouvoir entamer son processus de reconstruction, de guérison voire de résilience. Sinon il y’a un risque de préjudices psychologique selon axel HONETH. Il sera donc primordial que leurs souffrance et douleurs soit respecter et reconnue.

Il est très difficile de trouver des statistiques fiables sur ce sujet, on pense que les hommes de par leur masculinité auraient vraiment du mal à réussir à parler de cette situation et encore moins à porter plainte. La réception de leur récit par les proches ou par la police est d’autant plus une cause de peur dans ce type de situation. Un reportage montre que les policiers peuvent êtres moqueur face à ce type de situation qu’il passe en dérision ce qui ajoute à la honte et à l’humiliation de la victime. Certains articles de victime montrent que les proches préfèrent aussi fermer les yeux sur ce type de situation et pousse parfois la victime à ce taire de peur de subir la honte de ces aveux.

Ces hommes subissent divers type de violence physique, psychologique, sexuelle. Ces violence son des conséquences sur l’identité personnel, sociale de l’homme, et atteint sa sphère professionnelle, amicale familial. Il est attaqué et rabaisser dans son rôle d’amant, de partenaire et de père. Selon le livre homme battu de sophie TORRENT on trouve 1724 plaintes d’homme victime au Québec pour 36 hommes décédé sous les coups de leurs compagnes. En France 1.6% d’homme battue recensé en 2005-2007.

En pensant à ce sujet je me suis rappelée d’un cas pratique et médiatisée celui d’une starlette de télé-réalité et de son compagnon. On a jamais trop sue ce qui c’était passé du coter de la jeune fille sa défense était que son compagnon était souvent violent. Du coter de l’homme sa famille et ces proches affirmaient qu’il était souvent victime de sa compagne qui avait un comportement violent et agressif en public et privé avec lui. Finalement ils sont restés ensemble et sont partie vers d’autres cieux pour continuer à vivre leur idylle. La jeune femme est quand même restée quelques temps en prison 6 mois ferme pour une peine de deux ans de prison. Cette histoire est surement l’histoire de milliers d’homme et de milliers de couple, violence et danger vital avant une réaction de l’un d’entre eux. Ce type d’histoire nous aurait-elle interpellé si c’était deux parfait inconnue pas sure.

Maxime GAGET auteur du livre « ma compagne mon bourreau » et sur lequel il y’a aussi le reportage « itinéraire d’un homme battu ». Décrit son calvaire et ose parler pour tout ce qui n’ose pas. Il explique que les violences on débuter par des menaces, ensuite des violences psychologique et physiques, puis des tortures et de la séquestration avec actes de barbarie. Cet homme a réussi à dépasser la honte et la peur en portant plainte il a sur mettre par écrit son histoire et milite désormais pour la reconnaissance des hommes battu.

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