Résumé 19e siècle

La liberté de l’homme

À l’époque de Marx, les gens travaillaient sans vraiment avoir la possibilité de s’enrichir, c’était une tâche plutôt de survie. Aujourd’hui, avec toutes les options qui s’offrent aux travailleurs, il est possible d’atteindre des idéaux de liberté et de finances personnelles satisfaisantes par le travail. Le travail est selon Marx, une nuisance pour l’être humain puisqu’à mesure que la division du travail s’approfondit, la production ne permet plus à l’être humain de s’affirmer. Il est aliéné au travail puisqu’il doit renoncer à sa véritable nature, qui consiste à développer sa personnalité dans l’activité productive libre. Si ce dernier nous fait renoncer à notre véritable nature. Est-ce que même si l’homme travaille toute sa vie, il en sera libre? Finalement, est-ce possible d’associer travail et liberté ? Marx est d’avis que le travail aliéné de son époque ne permet pas à l’homme d’être libre. Le travail idéal pour Marx est celui qui permet de créer. Pour ma part, je suis d’avis que le travail aliéné ne permet pas à l’homme d’être libre puisqu’il finit par diriger notre vie.

La pensée de Marx a été influencée en autre par celle du socialisme français Rousseau, de l’économie politique anglaise Smith, et de l’ultrarationalisme Hegel. Le 19e siècle fut une période de bouleversements économiques et politiques. La révolution industrielle a grandement influencé la pensée de Marx puisqu’elle lui a fait vivre la réalité des ouvriers de l’époque. Les conditions de travails se détériorent. Les ouvriers travaillaient de 14 à 16 heures par jour, sans congé, pas même le dimanche. La religion est mise à l’écart, ce qui contribue à la déchristianisation. Les enfants commencent à travailler dès l’âge de cinq ans puisque l’offre et la demande de main-d’œuvre ne doivent être bloqués par aucune loi ni restriction. Les conditions sociales se détériorent aussi. Le salaire des ouvriers et des travailleurs étaient minimes puisqu’à l’époque, le taux de chômage était élevé. Les ouvriers étaient battus. Ils vivent dans des taudis. Aussi, lorsque les travailleurs commettaient une erreur par exemple, ils devaient eux même rembourser la pièce.

Selon Marx, le travail ne permet pas à l’homme d’être pleinement libre puisque l’aliénation empêche l’homme de se réaliser complètement. Il est important de faire la distinction entre la liberté formelle et la liberté réelle. La liberté formelle s’incarne un ensemble de droits et libertés. Elle laisse possibilité de faire telle ou telle chose, mis n’en procure pas les moyens. Par exemple, le droit au bonheur ne procure pas le pouvoir, ni le moyen d’être heureux. Ensuite, la liberté réelle se définit comme étant le pouvoir de déterminer sa propre vie en participant aux décisions qui touchent l’existence de chaque individu et en émettant les moyens nécessaires pour la réalisation de ces derniers. De plus, il est important de savoir que la question est sur le travail, et non seulement sur le travail aliéné. Il est donc important de bien distinguer ces deux formes que peut prendre le travail. Le travail dans les usines de l'époque de Marx est aliéné alors que le travail idéal est selon Marx, celui qui permet de créer. À mesure que la division du travail s’approfondit, la production ne permet plus à l’être humain de s’affirmer. Au contraire, il se nie. Il est aliéné et doit renoncer à sa véritable nature, qui consiste à développer sa personnalité dans l’activité productive libre. La distinction possible à faire avec le travail et le travail aliéné est le fait que le travail aliéné s’explique principalement par le fait que la force de travail est devenue une marchandise. La division du travail confine l’être humain dans une tâche alors qu’il doit renoncer à développer l’ensemble de ses aptitudes. Aussi, le travail en tant qu’activité ne lui appartient pas. Il n’a aucune maîtrise de ce qu’il fait. L’être humain consacre sa vie à la production d’objets qui ne lui appartient pas. Le travail aliéné ne fait pas partie de la vie.  

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