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Les compléments du verbe : COD, COI, COS, attribut du sujet et attribut du COD

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Par   •  14 Décembre 2017  •  Fiche  •  688 Mots (3 Pages)  •  1 287 Vues

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Les compléments du verbe : COD, COI, COS, attribut du sujet et attribut du COD

Exercice 1 : analysez les fonctions des expressions soulignées.

  1. Le petit chat est mort.
  2. Il coupa délicatement les pommes avant de les placer sur sa pâte.
  3. Je préfère les riches parfums ambrés aux senteurs florales et insipides qui sont aujourd’hui l’ordinaire de la parfumerie.
  4. Shéhérazade trouvait son sort injuste mais savait qu’il ne durerait pas éternellement.
  5. Avec une voix assurée, la présidente déclara la séance ouverte.

Exercice 2 : identifiez des COD, COI, COS, attributs du sujet et du COD dans les phrases suivantes.

  1. Elle parla à son voisin de la promenade qu’ils pourraient faire ensemble.
  2. Il trouvait cette idée intéressante mais voulait avoir des renseignements complémentaires.
  3. Voyant le garçon si hésitant, elle songea qu’elle était jeune, qu’elle méritait qu’on se passionne pour elle et indiqua à Paul qu’elle pouvait se promener seule.
  4. Il ne s’attendait pas à souffrir autant et le souvenir de cet épisode le marqua si fortement qu’il préféra longtemps la compagnie des animaux à celle des humains.

Nature et fonction des propositions

Exercice 3 : relevez les propositions et indiquez leur nature et leur fonction

a) Quand mon haleine fait trop de buée sur la vitre (sub conj/ CC temps), en hiver, je bouge de quelques pouces pour recommencer plus loin alors que j’ai eu le temps depuis longtemps de faire le tour de la vitrine au complet(sub.conj. /CC d’opposition). (Michel Tremblay)

b) Quand le vieux cerf entrouvrait les yeux(sub conj./ CC temps), son regard encore endormi retrouvait la sérénité du sous-bois, le silence amical des arbres. Et il refermait les paupières, tandis que son jeune compagnon, sans oser se remettre sur pied, détendait ses jambes énervées(sub.conj/CCtemps), en soupirant d’impatience et d’ennui. (Maurice Genevoix)

c) La poupée du pauvre Pierrot alla s’aplatir sur l’estomac de Mme Pignot. La boulangère poussa un tel cri, elle se renversa si fort en arrière et ses voisines l’imitèrent, si bien que le banc se rompit et que la boulangère et vingt autres personnes s’effondrèrent,(sub conj./CC conséquence) au milieu des rires, des cris et des applaudissements. (Alain Fournier)

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