L'idée de justice
Fiche : L'idée de justice. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar roro2t • 24 Avril 2017 • Fiche • 402 Mots (2 Pages) • 521 Vues
CHAP 4 : L’idée de justice
Introduction
• PASCAL : « Plaisante justice qu’une rivière borne ! vérité en-deça des Pyrénées erreur au-delà »
• Faut-il renoncer à toutes définitions communes de la justice ou bien est-il possible de définir l’idée vrai de la justice par de là les opinons qui existes.
I. La conscience spontanée et la loi
A. Le sentiment immédiat de justice
• La conscience apparait donc comme une conseillère fragile capable de se faire des illusions.
B. La nécessité de la loi
• La loi écrite qu’on appelle aussi la loi positive permet de dépasser la multiplicité la diversité des évaluations du juste et fixe des règles communes de conduite.
• ARISTOTE : « le juste ‘est se qui est conforme à la loi et se qui respecte l’égalité »
• A partir de là un courant pensé c’est développé à partir du XIXième siècle qui considère que la justice se limite entièrement au domaine de la loi, on appelle cela le positivement juridique.
• Le positivisme juridique considère que la légalité se confond avec la légitimité (se qui est fondé sur la raison).
II. Les ambiguïtés du droit positif
A. La légalité et la légitimité
• Avec le positivisme s’exprime l’espoir de pouvoir se passer de toute référence à des valeurs, tout se passe comme si le simple fait de la légalité tenait lieu de raison.
B. La légalité et l’équité
• Les décisions du tribunaux na peuvent pas se passer d’une interprétation qui par fidélité à l’esprit de la loi doit aller parfois à l’encontre de la loi prise littéralement et cela pour trois raison :
-la loi est généralement et la ridité toujours s’singulière
-le texte loi n’exclue pas certaine obscurité que seule révèle la confrontation au cas concret
-la législateur na peut pas prévoir toutes les difficultés qui résulteront de l’évolution des connaissances des techniques de meures sociales
• La jurisprudence : la règle qui qui se dégage de la décision d’un tribunal et qui permet d’éclairer d’autre cas similaire.
III. Le droit positif (écrit) et le droit naturel
A. Existe-t-il un droit naturel du plus fort
• Personnage Callielés tenu par PLATON : « la nature elle-même nous prouve qu’en bonne justice celui qui vos plus doit l’emporter sur celui qui vaut moins, le capable sur l’incapable
• ROUSEAU le droit du plus fort n’a aucune légitimité
• La soumission du plus faible devant les plus fort que lui ne peut pas être interprété comme la reconnaissance positive du droit de l’autre
B. Que penser la loi naturelle relatif à l’ordre de
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