Sociologie: réaction de racisme
Cours : Sociologie: réaction de racisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Monyjolijoli • 8 Mars 2017 • Cours • 1 192 Mots (5 Pages) • 594 Vues
Réaction première : réaction de raciste.
— > Pourquoi la 1ère réaction est spontanée ? Pourquoi on exclue la reconnaissance.
XIXème siècle : Basculement entre Procédés européens et procédés océaniens (question de pudeur exemple de la plage) avec l’arrivée de l’évangélisation. Européens apportent les vêtements aux océaniens. = Acculturation des vêtements, basculement du fait qu’en fonction du climat = changement vestimentaire (bikini).
Passage société différente : Jusqu’ou irez t-on pour s’intégrer dans la société ? Qu’est ce qui est en jeu quand je suis face à un type de personne qui est différent de moi ?
= les normes, les principes, les croyances (= identité) : qu’est ce qui m’empêcherait de changer d’identité ?
Spontanément est ce qu’on irait tendance à devenir « raciste » ?
La première chose qu’on transmet dans une culture : les préjugés, on commence à éduquer l’enfant avec des préjugés bon ou mauvais (tous ce qui est de l’ordre des croyances par forcément religieux) Point majeur : la capacité à se remettre en question.
naturel : ce qui renvoie aux règle de la nature
normal : ce qui renvoie aux règles de la société
Est-il gênant de confondre le normal au naturel ? on ne distingue pas ce qui est de norme de la nature et ce qui est de norme de la culture. On associe les normes de la nature comme si s’agissait des norme de la culture. Je subit la norme comme si elle était naturelle, une norme sociale serait pour moi une norme naturelle.
Problème de la plage : chaque espace social possède ses propres normes. Dans la rencontre avec l’autre = la mise en danger = prise de conscience des normes, prise de conscience de l’arbitraire des normes. Conséquence : frein, remise en question de nos propres autorité (sociale, religieuse …) = Le fondement de l’exclusion de l’autre est dans la force de l’autorité que l’on a formé donc sa remet en question notre héritage, savoir le relativiser.
Les différentes écoles de pensées (apparues au XiXè s) :
à partir du XVIè s : on commence à poser la personne dans son universalité et au XVIIIè s : + flagrant. Tout les homos sapiens possède la raison, la raison c’est la faculté à apprendre. Si je possède la raison je suis perfective. Puisque l’aitre humain possède la raison il peut apprendre donc il pet faire du progrès. XVIIIè s : + j’aurais de connaissance, + je vais devenir meilleur (+ savant) dans le sens moral du terme. Plus la société aura de connaissance plus elle va s’améliorer. = L’humanité grâce aux connaissance devrais s’améliorer.
A partir du moment ou je considère les autres comme des frère de l’humanité, ou je le reconnais comme l’humain, comment je l’intègre dans l’humanité, comment je fais pour dire que malgré le fait qu’il est humain, il est différent de nous;
Il suffit seulement de dire que nous sommes tous humain, plus il va apprendre plus il deviendra meilleur : ce qui distingue les gens : le degré de progrès. Nous sommes tous humains mais nos cultures ont progresses plus ou moins vite. Chaque société représente un stade différent dans l’humanité. XIXè s : triomphe des théories évolutionnistes, dans le temps les espèces évoluent. Nous sommes tous humains mais nous appartenant à des cultures qui ont progresses plus ou moins vite.
Quand je juge l’autre, je juge les différence qui le définie.
Ethno-centré : on voit les choses par rapport à sa culture.
Est ce que demain va nécessairement s’améliorer ? Pas forcément. L’universalité comprend deux courants : la religion et la philosophie. XIXè s : siècle des impérialistes coloniaux.
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