T.D Méthode de l’archéologue Fichtl

T.D Méthode de l’archéologue Fichtl

Day 1 :

Fouilles protohistoriques 2016

Cours 1 : La métallurgie du bronze

Cours 2 : L’orfèvrerie et le plomb

Cours 3 : La métallurgie du fer : la sidérurgie

Cours 4 : L’émail

Cours 5 : Le verre

L’âge du bronze utilisation de ce new métal de manière exceptionnel puis quotidienne.

1. Cuivre natif

On martel le cuivre.

1. Cuivres à l’arsenic (vers 2000 av J-C)

Un alliage naturel qui se retrouve dans la nature. Mais on s’aperçoit avec les analyse que certains cuivres à l’arsenic contiennent jusqu’à 20% d’arsenic donc c’est un ajout volontaire de l’Homme. A partir de 1800 on a remplacé l’arsenic par de l’étain.

1. Bronze : cuivre et étain (vers 1800 av J-C)

Le bronze c’est un mélange de cuivre et d’étain.

Serbie et Bulgarie en contact avec l’Anatolie qui use du bronze.

Extraction et maitrise du métal depuis l’Anatolo-iranienne jusqu’en E.U.

Le cuivre était diffusé sous forme de lingots :

Barres incurvées des anneaux ouverts aux extrémités enroulées

Lingots bipennes

Du cuivre au bronze … généralités :

1. La différence entre le bronze et le fer : le fer se forge et le cuivre se coule.
2. La température de fusion pour le cuivre = 1084°C
3. On obtient du bronze par adjonction d’étain :

• On abaisse e point de fusion : la température de fusion = +ou- 950°C
• On obtient un alliage plus fluide, donc plus facile à couler

1. La dureté du bronze augmente en proportion de sa teneur en étain. Les bronzes contiennent entre 3 et 20% d’étain. Au-delà de 15% le bronze cassant mais s’oxyde moins rapidement.
2. Outre les alliages binaires, on a recourt à des alliages ternaires de cuivre, d’étain et de plomb (dès le Bronze moyen).
3. Les métallurgistes n’ignoraient sans doute pas la qualité des métaux qu’ils travaillent.

La nature de la production et les contraintes liées à la disponibilité des ressources métallifères ont probablement constitué autant de paramètres déterminants dans les choix de composition des alliages.

Les moules de bronziers :

La fonte dans des moules, la dinanderie = déformation plastique.

• Le moule mono valve 
• Le moule bivalve

La cire perdue :

L’élément en cire sera entouré de terre. On va chauffer le moule la cire va fondre et laissera place à un creux ou on versera du bronze. Une fois refroidi on casse le moule et on récupère l’objet.

• Fonte pleine
• Fonte en creux sur positif
• Fonte en creux sur négatif

La dinanderie

• L’emboutissage : consiste à taper à l’intérieur.

• La rétreinte : taper à l’extérieur du vase.

• Le recuit : pour rendre au cuivre sa malléabilité originale. Le métal est recuit périodiquement pour qu’il recristallise et récupère sa capacité de déformation, sinon la rupture serait vite atteinte.

• L’écrouissage et planage : dernière phase de martelage, le planage durcit le métal et le fignole.  

Une phase de coulé puis on partait d’un moule, d’une ébauche et c’est cette ébauche qu’on travaillait.

Pwp !

L’outillage du bronzier

Le dépôt de la Petite Laugère, à Génelard

PWP !

L’orfèvrerie

Traite de l’or, l’or à une caractéristique à l’inverse du bonze c’est qu’on en trouve un peu partout. Se trouve sous forme, de pépite, paillette, aiguille, Crystal.

Les principales qualités de l’or :

• Résiste à la corrosion
• N’est pas détérioré par l’oxydation
• Métal malléable
• On peut obtenir des feuilles très fines sans recuit

L’or peut être retrouvé sous forme de taule ou sous forme de feuille d’or qui permet de dorer des objets.

Les premières pièces d’orfèvreries :

Pwp :

Décorations

Techniques décoratives :

La brasure

La soudure

La technique de la granulation : décor formé de petit grains d’or

Les minerais sont concassés, transformés.

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