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Philosophie - Conscience

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Par   •  7 Avril 2021  •  Cours  •  1 071 Mots (5 Pages)  •  429 Vues

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QUE SIGNIFIE AVOIR CONSCIENCE DE SOI ?

L'individu n'est pas qqchse de fixe et définissable mais en constante évolut°

La ques° qui est-tu ou qu'est-ce que je suis est complexe : tt tentative de définition semble impossible.

Complexit de définit° de ce que nous sommes = problème dans la créat° d'une définit°

Peut-on véritablememnt élaborer une définit° de ce qu'est un individu ?

Est-ce qu'un individu est définissable où est-ce une objet qui y échape ?

1- Qd on parle de soi on parle d'une réalité, de qqch est pas d'une illus°

2- Toute tentative de définit° nous échappe

But --> Approcher ce paradoxe

Si on nous demande une définit° de nous :

- état civil : nous distinguer les 1 des autres, mettre 1 étiquette sur nous

¤ Problème : on ne détérmine pas ce que l'on est, c'est seulemt un moyen de s'appeler

- métier : seulemt rentrer dans 1 case/ 1 mot, 1 profession

¤ Problème : ne détérmine pas ce que l'on est

Cela ne rend pas compte de la complexité du "moi".

D'1 ptn de vue moderne, qu'est-ce que le moi est une quest° centrale, on se pose constamment des quest° sur qui

suis-je. On n'est m^ pas capable de ce définir.

> Interrogation récente : société qui est la nôtre : individu placé au centre

Descartes = créateur de la not° de subjectivité

Subjectivité :

¤ ce qui est relatif à un sujet (sujet : qqun capable de se saisir lui-même comme conscience)

Placer subjectivité au centre = récent --> Descartes (Philosophe français - XVIIe siècle)

Au Moyen-Age, on existait avant tout comme membre d'une communauté et dans un 2nd temps comme subjectivité

--- Certains se sacrifient pour leurs chefs et leur communauté (communauté et honneur + forte que tout)

Dans notre société actuelle, on existe d'abord pour nous avant que pour la famille (on se saisit de subjectivité)

~ Transformation lié au discours philosophique (Descartes par ex.)

OUVRAGE : LES MEDITATIONS METAPHYSIQUES - DESCARTES (latin)

OUVRAGE : LE DISCOURS DE LA METHODE - DESCARTES (français)

I. Le cheminement cartésien

A- Pourquoi douter ?

Aboutir à une conclusion fausse :

- les idées fausses

- une mauvaise analyse/erreur de raisonnement

"Tous les hommes sont mortels"

"Socrate est un homme"

--> Socrate est mortel

Syllogisme = 2 proposit° qui sont vraies donc la conclus° qui en découle est nécessairement vraie

/!\ Si les élements sont vraies et la conclusion fausse ou les élements faux qui menent à une conclusion fausse, alors

ce n'est pas une vérité.

A l'époque de Descrtes, pas de science unifiée = disocurs et discuss°qui n'en finissaient pas et des disputes de la

part des savants et incapacité de produire un discours univoque. --> Discussions infinies et sans fin.

D'après Descartes, ce type de manière de faire ne permet pas à la connaissance d'évoluer,

pour avancer ensemble vers l'élaborat° d'une connaissance collective = avoir un discours unique.

Le doute cartésien a 1 sens d'un ptn de vue méthodologique :

- Il faut faire le tri dans nos idées entre celles qui sont assurées (justes) et celles qui sont douteuses (fausses) pour

être en état d'élaborer une véritable connaissance

B- La nature du doute

(1. présenter auteur, artiste; oeuvre (contexte et tout) - 2. justifier le caractère artistique de l'oeuvre)

Entre le faux absolu et le vrai absolu, on n'est rarement entièrement dans l'un ou l'autre.

Descartes fait le pari qu'on peut arriver à une véritée absolue.

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