Les relations entre le Premier Ministre et le Président

Dissertation : Les relations entre le Premier Ministre et le Président

En son discours de 1962, de Gaulle a affirme que «Certes, on ne saurait accepter qu'une dyarchie existât au sommet » cela pour instaurer un exécutif fort au contraire des républiques précédentes dont le première ministre est plus prééminent sur le président. Cela a été la source des inquiétudes, lorsque d’une part, sous la V ème république il ya une dépendance extrême du gouvernement sur les décisions du président et d’une autre part la quasi-indépendance du gouvernement en périodes de cohabitation.

La constitution de 58 est tellement ambiguë qu’on ne sait pas jusqu'à maintenant quelle est la direction spécifique du régime politique et d’administration du pays. S’il est présidentiel, semi-présidentielle ou parlementariste ?

Ce qu’on peut conclure de la constitution est que l’exécutif est très fort supportés par les médias ce qui catégorise le président comme la face du pays et ses institutions et on peut jamais nier le rôle de media en délivrant le message pour le peuple. Ce qui comme De Gaulle le souhaitait et en accord avec l’article 5 de la constitution, le président sera le chef de l’état garant et arbitre. Maintenant, âpres la révision constitutionnelle de 2000, pour réduire le mandat des 7 ans a 5 ans pour coïncider avec l’élection du parlement et presque éviter la cohabitation au future.

Mais, en faisant cela on donne le président la possibilité d’indépendance et irresponsabilité parce que le premier ministre en périodes de concordance ne s’agit qu’un organe qui applique les décisions prises ou inspirées par le président de la république et a traduire les choix politiques de ce dernier. Plus que cela on a les pouvoirs propres et un statut originalement fort garantie par la constitution de 58 pour le chef d’état.

À l'égard de cette réalité, est-ce que la relation entre le président de la république et le premier ministre est un duo ou un duel ?

Pour démontrer cela, on va entreprendre la fusion des 2 têtes de l’exécutif en périodes de concordance (I) et la quasi-indépendance du gouvernement en temps de la cohabitation (II)

I- La fusion des 2 têtes de l’exécutif en périodes de concordance

On trouve le président au centre des institutions politiques et d’une irresponsabilité politique et pénal ce qui résulte en la mise en œuvre de la politique présidentielle par le premier ministre (A) et le président chef d’une dyarchie exécutif (B)

A- La mise en œuvre de la politique présidentielle par le premier ministre :

Comme résultat de le libre choix le président peut faire en nomination de premier ministre il peut interpréter l’article 8 comme donnant au chef de l’état le pouvoir de le faire démissionner au moment qu’il jugerait bien, alors même que ce premier ministre aurait toujours la confiance de l’assemblée national. Le président veille que le gouvernement ne s’oppose pas ou ne s’écarte pas a la direction qu’il souhaite. Il peut faire ça par le pouvoir donne au chef de l’état par l’article 9 de présider le conseil des ministres et par l’article 13 de signer l’ordonnances et les décrets en conseil des ministres et il peut par ce pouvoir montrer son désaccord d’une manière légitime.

Certains peut spéculer que le rôle de le première ministre est seulement de l’exécution mais il assume aussi la responsabilité devant le parlement et le président sera hors d’atteinte. Le premier ministre peut apparaitre comme une victime des erreurs et échecs du président de la république. 

B – Le président chef d’une dyarchie exécutif :

Si on a un président fort et élu au suffrage universel ça demandera une claire responsabilité du président devant l’assemblée national qui représente le peuple. On peut dire que d’une manière indirect il a une responsabilité devant le peuple parce que c’est lui qui nomme le premier ministre et influence la direction du conseil des ministres et si l’assemblées renverse le gouvernement ça veut dire que la politique du président ne représenta pas le peuple. 

De Gaulle a démissionner après le refus de referendum, il espérai que cela sera un exemple d’une responsabilité non écrite dans la constitution et que si le peuple montre son insatisfaction d’une manière ou d’une autre, le président a une obligation morale de démissionner parce qu’il a était vote au suffrage universel direct. Mais on a vue au cours d’histoire qu’il ya plusieurs referendum qui on était refus et les présidents n’ont

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