La communication constructive

La pollution de l’air

Qu’est-ce que la pollution de l’air ?

        Quand on parle de pollution de l’air on fait généralement le lien avec la pollution extérieure. Pourtant de récentes études ont démontré que la pollution intérieure était en réalité 2à 3 fois supérieure que celle extérieure. Ces pollutions sont composées de différents types de particules. Il en existe des dizaines de milliers de molécules nocives à la santé.

        Il existe les polluants : biologiques issus des êtres vivants, chimiques comme le monoxyde de Carbonne, on trouve également des fibres et particules dans certains matériaux. Sans oublier bien sur les gaz radioactifs naturels tel que le radon.

        Une amélioration des techniques de construction a débouché sur une isolation de plus en plus efficace ce qui accentue le phénomène.

        Les causes actives restent néanmoins l’industrie et le transport responsables de plus de la moitié des émissions planétaire.

        Pour rendre un cas précis, on peut observer la France qui, en se chauffant au bois l’hiver, engendre 50 à 70% des masses d’aérosol carbonés.

Quelles en sont les conséquences ?

        Malgré l’évidence des conséquences sanitaires, elles ne sont pas les seules de cette pollution.

        Nous naviguons déjà dans la zone rouge, en France, 20 000 personnes meurent chaque année, 1,3 millions dans le monde. Les risques n’en sont plus, nous sommes face à de lourdes et durables conséquences. Cancers, maladies pulmonaires, asthme, maladies cardiovasculaires, stérilité (…) sont les conséquences, directes de la pollution.

        Une autre conséquence directe est la dégradation de l’environnement, la contamination des eaux et des nappes entraient des dommages sur plusieurs dizaines d’années. On remarque dans les zones polluées des altérations de la biodiversité, en effet les premiers organismes touchés sont les micro-organismes, ce qui dérègle totalement les cycles alimentaires. L’état de l’air implique directement les averses qui, en emmagasinant toutes ces particules, deviennent des pluies acides. Le réchauffement global et les gaz à effet de serre ont accentués au fil du temps par la pollution.

        En plus des enjeux biologiques, la pollution fait aussi des torts aux finances de l’état qui prend des mesures de plus en plus couteuses, pour réduire ces émissions conformément aux objectifs fixés. On estime la 101,3 milliards le cout de la pollution en France, ce qui a l’échelle européenne représente 1400 milliards d’euros.

Une autre forme de pollution.

        2 est le nombre de désert d’étoiles restant sur terre. Ce terme scientifique désigne des endroits vierges de toute forme de lumière artificielle, pouvant altérer la visibilité des étoiles, à travers notre atmosphère. Cette pollution est une forme de pollution de l’air qui implique le dérèglement de chaines biologiques existant depuis des millions d’années.

Y-a-t-il une solution ?

        Les moyens mis en place par les états marquent une volonté de transition, mais l’engagement de l’état seul ne suffit pas. L’environnement est un problème qui nous concerne tous, chacun de nous est impliqué personnellement. Une prise de conscience d’un peuple tout entier qui entrainerait un changement des habitudes du quotidien peut alimenter cette transition afin qu’elle soit durable.

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