L'intimidation à l'école (outil)
Fiche : L'intimidation à l'école (outil). Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Karine Desbiens • 25 Août 2015 • Fiche • 569 Mots (3 Pages) • 1 007 Vues
École (NOM DE L'ÉCOLE)
L’intimidation à notre école!
Nom : _________________________
Classe :________
1) Décrivez-moi en quelques mots une situation d’intimidation que vous avez vue ou entendue dernièrement auprès des élèves de 6e année
2) Quels types d’intimidation est le plus présent? (violence physique, verbale ou psychologique)
3) As-tu déjà été victime d’intimidation cette année? (quand, où, comment, durée)
4) As-tu déjà intimidé d’autres personnes cette année? (quand, où, comment, durée)
5) As-tu déjà été témoin de situation d’intimidation cette année? (quand, où, comment, durée)
6) Nomme-moi des gens qui intimident dans ta classe cette année :
7) Nomme-moi des victimes d’intimidation à l’école cette année :
L’intimidation c’est …
se moquer, humilier, pousser, frapper, insulter, dire des paroles blessantes, avoir une attitude dénigrante, répandre des rumeurs, ignorer, rejeter, faire des menaces, briser des objets, menacer avec un objet.
Ce sont des gestes intentionnels et répétitifs
On s’attaque à différentes personnes ou toujours à la même personne
Ça se passe souvent lorsque les adultes ne sont pas là et même sur internet
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Des recherches menées au Canada auprès d’élèves de la première année du primaire à la deuxième année du secondaire indiquent que 15 % des répondants disent avoir été victimes d’intimidation au cours des six semaines précédant l’enquête et 6 % avouent avoir intimidé. Elles démontrent également que plus de 40 % des élèves interrogés au primaire et 60 % des élèves interrogés au secondaire prétendent que les adultes ne réagissent pas lorsque les élèves sont victimes d’intimidation.1
Au Québec, les données disponibles, provenant d’une enquête conduite au printemps 1999, témoignent que les jeunes vivent surtout de la violence verbale. De plus, on note que 33 % des enfants de 9 ans et 15 % des enfants de 13 ans rapportaient avoir été victimes de violence physique à l’école ou sur le chemin de l’école.2
Enfin, des sondages réalisés dans quelques écoles de la Commission scolaire des Patriotes, auprès d’élèves des deuxième et troisième cycles du primaire et du premier
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