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Cours subordonnée et négation

Fiche : Cours subordonnée et négation. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  22 Décembre 2022  •  Fiche  •  544 Mots (3 Pages)  •  253 Vues

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Les propositions subordonnées

Définition : Une proposition est une partie de la phrase. On dénombre autant de proposition que de verbes. Une phrase simple est une phase qui comporte un seul verbe, et une phrase complexe comporte plusieurs verbes.

Définition : Une proposition principale qui contiens un terme dont une autre proposition va dépendre. Cette proposition sert à compléter la proposition principale.

Définition : Une proposition subordonnée est une proposition qui dépend d’une proposition principale. Elle se rapporte à une proposition principale pour apporter une précision en lien avec celle-ci.

Proposition subordonnée relative : est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où. Ou composé : lequel, auquel,

duquel. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent. Exemple : Il est beau que quand il se prépare.

Adjective : Elle est introduite par qui, que, quoi dont, où. Elle adjectif qualificatif épithète. Elle est souvent complément de l’antécédent. Exemple : Il est beau

Substantive : Elle est introduite par qui, quoique, où, quoi. Elle peut être aussi introduit par une locution relative : ce que, ce qui, celui qui…) Exemple : Il est beau celui que j’ai vu hier est plus beau.

Propositions subordonnées conjonctives : elle commence par une conjonction de coordination : que, dès que, pendant que, quand, parce que, puisque, bien que, quoique, si, même si, etc. Exemple : Il est beau parce qu’il s’est préparé.

Complétive : Introduit par « que » où « ce que », « à ce que », « de ce que », « en ce que », « sur ce que ». Complément de l’adjectif. Exemple : Il est beau à ce que je pense.

Interrogative indirecte : dépend d’un verbe impliquant une question. Elle est COD de ce verbe. Exemple : Il se demande s’il est beau.

Circonstancielle : donne des précisions sur les circonstances dans lequel a lieu la proposition principale. Elle est introduite par une conjonction de coordination (quand, si, comme...). Exemple : Il est beau comme un cœur.

Les propositions subordonnées participiales : contient un verbe au participe passé ou présent qu’il partage avec aucun autre verbe. Exemple : Il est beau et intelligent.

Les propositions subordonnées infinitives : La proposition infinitive est une proposition subordonnée complétive particulière organisée autour d’un verbe non conjugué à l’infinitif et dont le sujet est distinct de celui de la principale. Elle remplit généralement la fonction de complément d’objet. Exemple : J’entends les enfants jouer.

La négation

La négation partielle : Elle exprime une rétraction ou une limite, elle s’emploie avec « que », « guère ».

Exemple : « Il ne mange que des légumes.

La négation totale : Elle a pour but de nier toute la phrase. On utilise la locution adverbiale « ne pas ».

Exemple : Il ne mange pas de viande.

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