La révolte de Rieux

la 3 / La révolte de Rieux

Rieux face à l'insupportableImpossibilité pour Rieux de supporter l'agonie de l'enfant « Rieux serrait les dents » l.8 : imparfait à valeur durative. L.23 « ivre de fatigue et de dégoût » métaphore d'opposition qui montre que le docteur est au bord du malaise. C'est la première fois que Rieux suit pas à pas l'évolution de la maladie d'un patient. Rieux ressent le besoin de fuir et de partir pour la première fois marqué par la formule impersonnelle « il faut que je m'en aille » l.25. Il ne peut pas accepter l'injustice infligée par Dieu qui ôte la vie à l'enfant. « Je ne peux plus les supporter » l.25 peut parler des cris, des pestiférés en train de mourir. Son comportement est inhabituel.

Expression de la colèreChamp lexical de la violence doublé de phrases exclamatives témoignant de sa colère. Elle s'abat sur Paneloux l.44-45 mais il n'est pas réellement en colère contre cet homme d'Eglise. Il est en rage contre le destin, la fatalité qui tue les innocents.dance est magnifiqueB)Un combat qui représente l’humanité souffrante

III – L’impuissance humaine face au mal

A)Les souffrances d’un innocent

B)La mort regardée « en face »

Conclusion :

Cette page au réalisme symbolique est un des temps forts du récit : tous assistent impuissants au scandale qu’est l’agonie d’un innocent. La peste triomphe encore, malgré la solidarité des hommes qui luttent

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