Exposé sur le monde diplomatique

                                              Devoir sur le monde diplomatique

L’article que j’ai choisi ce nomme « Washington et Moscou divergent sur l’Afghanistan » il fait partie du n°22478 du journal le monde qui parut le jeudi 20 avril 2017. L’article se situe à la page 6 et fait environ 1 page. Il a été écrit par julien Bouissou, un envoyé spécial du journal, qui se trouve actuellement en inde.

L’article parle du cas ISKP (qui est le groupe islamique en Afghanistan), les russes et d’autres pays ont débattus sur ce cas lors d’une conférence internationale faite à Moscou à laquelle les USA ont refusé de participer.

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L’article débute en nous informant que, après que les Etats Unis ont largué la bombe en Afghanistan (la bombe non nucléaire la plus puissante) les dirigeants de Moscou ont décidé de parler du cas ISKP, ils ont donc invité les afghans, les USA, la chine et d’autre pays d’Asie.

Les USA ont refusé car ils n’ont pas la même pensée que les russes. Les russes plus diplomates veulent dialoguer avec les talibans pour pouvoir directement régler le conflit intérieur c’est-à-dire l’état islamique, tandis que les américains sont plus radicaux et pensent que donner le droit de parole aux afghans serait leur octroyer le pouvoir d’influence et de légitimité. Selon les russes, il est plus important de gérer le problème de l’Etat Islamique car selon eux, les membres de l’Etat Islamique en Afghanistan prépareraient un plan contre un pays d’Asie centrale alors que les états unis voient plus un problème pour résoudre le conflit.

Depuis 16 ans, les talibans n’ont jamais eu autant de territoires. Malgré ça, la menace de l’Etat Islamique a éclipsé celle des talibans, du moins sur la scène diplomatique internationale. L’article nous apprend ensuite que Rakka (une ville en Syrie) aurait envoyé des dirigeants à Kaboul pour diriger des opérations militaires. Mais le commandant central de l’état islamique n’aide pas sur le point politique ni financier l’ISKP ; une remarque faite par Obaid Ali, le directeur AAN (Afghanistan Analystics Network) (un groupe de recherche à but non lucratif).

ISKP a subi des défaites face aux talibans, afghans puis aux USA. Selon l’OTAN, le groupe possède 600 combattants dans 2 ou 3 districts de la province de Nangarhar, 200 combattants dans celle voisine de Kuran. Le porte-parole de l’OTAN affirme que la menace Daech en Afghanistan a diminué. Alors on peut se demander pourquoi la frappe a été aussi importante sur un groupe aussi affaibli, même si, selon les USA, la bombe aurait épargné les civils, sans pour autant pouvoir l’affirmer car aucun journaliste n’a pu rentrer dans la zone.

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Avant de finir, on apprend que le vice-président américain de visite en Corée a annoncé pour cette bombe qu’il s’agissait d’une preuve de la détermination des Etats Unis. Mais l’ISKP reste tout de même dangereuse et conserve des forces à Kaboul, ou ils disposeraient de cellules dormantes.

Moscou qui était calme jusque-là, menace d’infiltrer les combattants de l’Etat Islamique.

Et les USA ne veulent laisser aucun refuge aux terroristes afghans.

Mais le combat contre l’Etat Islamique en Afghanistan n’est surement pas sans arrière-pensée…

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