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Ecrit d'invetion

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Par   •  31 Janvier 2016  •  Cours  •  545 Mots (3 Pages)  •  456 Vues

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Ecrit d’invention

SCENE 1

Ogoglioso, Ironica, Camarera, Cortigiana

Ironica Lontana, femme d’Ogoglioso, rentrant et s’asseyant en face de son mari pour diner.

Ogoglioso : Ma douce, cette moue me déplait fortement, que vous arrive-t-il ?

Ironica ne daigne lever les yeux.

Ogoglioso : Ironica, qu’est ce dont ? Regarder moi pardi, osez regarder le bel homme qui    se tient en face de vous.

Ironica, d’un ton ironique : Bel homme ? Surement.        

Ogoglioso, haussant le ton : Cette ironie me déplait fortement, que je ne vous prenne plus a recommencer cela. Pauvre femme.

Camarera, servante de Ogoglioso, annonça son amante Ipocrita.

Ogogliose : Regardez donc Ironica, prenez exemple sur cette brave personne aux sublimes aspects physique.

Ironica : Si vous n’étiez pas imbu de votre personne…

Ipocrita entra sans voir la femme d’Ogoglioso et coupa de suite la parole

Ipocrita : Mes sincères salutations mon cher, que faite vous seul dans cette si grande pièce ? Où se cache votre médiocre épouse ?

Ironica : Je me ravie de vous revoir aussi. Dit-elle d’un ton agacé. Que voulez-vous donc ? Courtiser mon mari ? Mais pressez-vous donc, vous n’êtes guère la seule qu’il séduit. Mariez vous avec, je vous le donne en offrande. Comment puis-je supporter une personne aussi impure, malhonnête et orgueilleuse. S’en est trop.

Ogoglioso : coupant la de Ironica, en se levant promptement. Comment osez-vous ? Ipocrita, ne suis-je pas l’homme dont toute les femmes rêves ? Ne suis-je pas brillant ? Audacieux ? Aimant ? Riche et sincère ? Une somptueuse personne due mon envergure ne peut être appréciée par une femme comme la mienne. Seul vous me convenez, seul vos parvenez à me charmer.

 Ironica sort de la pièce avec son valet

SCENE 2

Ipocrita et Ogoglioso seul dans la salle à manger.

Ipocrita, envoutée par les paroles d’Ogoglioso : Suis-je réellement la seule qui te convient ?

Ogoglioso, d’un ton las : Vous êtes la seule et l’unique. La seule qui me mérite, tout ce que vous voudrez entendre. Laissez-moi réfléchir un instant. Que fais-je là ? Pourquoi être ainsi ? Que vais-je y gagner ? Donner ma vie aux femmes pour en retour ne recevoir que la haine du tout puissant. Suis-je fais ainsi ? Pervertir ma vie, me réduire à la séduction de créature comme vous. Je gagne en réputation mais perd des personnes importantes de ma pénible vie. Ma notoriété me rend impies, me créée des soucis. Je finirai ma vie seul et reclus. Faire régner le mal au tour de toi n’étais pas mon but. Toutes les femmes trahies, meurtries, abandonnées. Ai-je déjà été réellement amoureux ?  Suis-je donc fou de vous ? Que faire, je me situe dans un néant plus grand que l’univers. Aurais-je a choisir entres vous toutes ? Chacune avec se qualité que je n’ai su voir ? Toutes situations tournées à mon avantage par mon fidèle serviteur. Me ranger face à mon orgueil, me repentir. Puis-je revenir en arrière ? Puis-je recrée une vie basée sur l’impiété ? D’un ton imploreur, se mettant à genoux face à la fenêtre. Dieu tout puissant, envois moi un signe, je me repentirai, me reconvertirai, je vivrais comme un franciscain s’il le faut.  Le tonnerre retentit dans le ciel. Ipocrita s’en alla déboussolée et la porte claqua a jamais.

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