Discours contre le suicide

La vie… Un grand mot, voir un gros mot pour certain, c’est pourquoi, aujourd’hui même, je suis face à vous tous, pour vous prouver par mon discours, par mes actes et par ma propre vie que nous sommes capables d’avancer et de changer la face de notre pays. Je suis donc de ceux qui affirment haut et fort qu’il faut lutter contre toutes ces morts volontaires, tous ces suicides qui hante nos voisins, nos familles et nos amis !!!

C’est par ces mots que je vais vous expliquer maintenant par 2 chiffres simple, formels, que j’ai raison de m’inquiéter :

25, 25 quoi me diriez-vous ? 25 suicides par jour un nombre qui ne devrait pas exister, un nombre inimaginable pour la France. Vous rendez vous compte de ce qui se passe ? Aujourd’hui nos concitoyens sont mécontents, mécontents de leurs vies, mécontent du système moderne qui les dévorent de l’intérieur. Nous avons par exemple Amelie une enfant d’une dizaine d’année qui fut contrainte de se pendre parce qu’elle était souvent critiquée par sa façon de s’habiller ou encore par son physique défavorable. Nous vivons de nos jours dans une société où nous critiquons beaucoup trop facilement sans nous inquiéter de l’impact que cela a sur certaines personnes, c’est cette société qui perdure encore et encore et qu’il faudrait aujourd’hui mesdames et messieurs, changer.

Le suicide… notre principal sujet, est la deuxième cause de mortalité chez les personnes de moins de 18 ans. Avant de commencer quelque explication que ce soit. Je veux d’abord vous faire part à vous et à tous ceux qui m’écoutent, une information très importante, il y a peu un adulte ; 19 ans environs ; du nom de Quentin assez réservé malgré son âge, est malencontreusement décédé suite à une non-adaptation dans son école d’ingénieur (insulte, bagarre, crachat…) se répétèrent sans l’intervention d’autrui. Il était sportif, joyeux, il inspirait la joie de vivre, mais il fut contraint de se donner la mort. La faute à pas de chance me diriez-vous, mais non après une enquête approfondit faite par mes soins et mes collègues nous avons des preuves inculpant la naïveté du principal d’établissement dans cette affaire, pour ne pas avoir prévenu les tuteurs légaux de l’état psychologique empirant du garçon.

C’est pourquoi pour conclure, j’espère que vous avez compris qu’il faut que nous agissions au plus vite, pour tout d’abord sensibiliser la France !!! Sur la question du suicide, sensibiliser la France sur ces chiffres aberrants, ou encore d’autres méthodes, pour pouvoir contrer ce taux de suicide, encore beaucoup trop élevé en France.

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