TD Conférence de méthodes

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Questions 1 à 7

1.  Donner une valeur à la nature, c’est évaluer les services qu’elle peut rendre ; c’est estimer sa capacité à contribuer au bien-être des gens parce qu'elle est utile et rare, pour la protéger, pour garantir la « conservation » des services qu’elle nous procure, au nom d’un développement durable.
2. Adopté en 1972 par l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) et en 1986 par la CEE, le principe pollueur-payeur (PPP) est un principe économique qui vise à internaliser dans l'économie les coûts environnementaux cachés (externalités).

Ce principe stipule que les coûts de prévention, de réduction de la pollution, de dépollution et de restauration doivent être supportés par le pollueur à l'origine du sinistre.

Le principe pollueur-payeur est appliqué en France par exemple avec les taxes sur l'assainissement de l'eau ou la taxe des ordures ménagères.

1. Pour évaluer les ressources mis à disposition l’environnement, il est nécessaire de se baser sur  3 critères :

• Production marchande et exploitation des ressources
• « Services rendus » par la nature
• Prix mis à disposition par les consommateurs pour l’accession de ce bien

1. La nature est un bien sans réel prix car elle est essentiel à l’homme sans quoi il ne pourrait vivre. Elle permet la biodiversité et tout ce qui l’englobe, des facteurs qui sont inquantifiables monétairement.
2. La tragédie des biens communs est un phénomène de surexploitation d’une ressource commune dans une perspective de libre accès à cette dernière où le partage des ressources fini par s’avérer inefficace
3. En économie, les effets indirects induits par une activité sont appelés externalités, car ils se situent à l’extérieur de la transaction et de la comptabilité

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