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RIN1008 TN2

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Par   •  15 Septembre 2018  •  Dissertation  •  3 502 Mots (15 Pages)  •  880 Vues

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Partie 1

Intervenans

1.Luc Allaire, conseiller au Service de l’action professionnelle, Centrale des syndicats du Québec (CSQ)

2. Marie-Dominique Bélisle, conseillère en gestion des ressources humaines, Association québécoise d’établissements de santé et des services sociaux (AQESSS)

3. Kamal El Batal, directeur général de la Société de formation et d’éducation continue (SOFEDUC)

Interessant

Les gens avec des postes permamnents ont accès a de la formation continue contrairement aux gens qui n’ont pas de poste permanent. Les gens ne veulent pas toujours se faire évaluer dans le domaine de l’éducation.

Les organisation syndicale doivent se tenir face a la formation continue afin que tous y aient accès et que la loi du 1 % soit vraiment pour les employés.

Apprentissage

Luc Allaire :

Formation externe

Formation en vu d’accéder a un nouveau poste (upgradé)

Fromation pour changer de carrière

Loi du 1 % ne peut concerner qu’une partie des employés, pas juste ceux qui en ont besoin.

Marie-Dominique Bélisle :

Orientation spécifique pour accéder a un poste

Retour pour du perfectionnement

Bénéfiece, coaching, parrainage, mentorat.

Kamal El Batal :

Favoriser l’épanouissement professionnelle

Gérer l’offre et la demande

Loi du 1 %

Formation continue

Quête de compétence et productivité

Grandes entreprises offrent plus de formation continue que les PME

Élements communs / différents

Selon M. Allaire, plus on est instruit, plus l’accès a la formation continue est facile, contrairement ce que croit Mme Bélisle. Elle croit que les super professionnel ont un grand besoin de formation pour être a jour.

L’employeur doit maintenir le développement des compétences de ses emplyés selon Mme Bélisle et M. Allaire croit qu’il faut que l’employeur encourage l’éducation. Ces deux experts croient qu’il est bien d’offrir des stages en milieu de travail. M. El Batal croit que c’est l’entreprise et les employeurs qui doit améliorer la formation continue. Il faut que les employeurs aient les bon outils pour offrir une meilleure formation continue. Sinon, la formation n’est pas optimale.

La formation devrait être beaucoup plus poussé par le gouvernement selon Mme Bélisle, M. Allaire et M. El Batal croit que l’État en fait beaucoup.

M. El Batal croit que ces aux syndicats de se tenir debout pour avoir de la formation continue et M. Allaire pense que c’est plus facile a dire qu’a faire. M. Allaire dit que les syndicats ne peuvent pas tout faire.

Exemple en lien avec actualité

En santé, il existe des comités des ressources humaines qui s’entendent sur différents projets, formation et sur la modalité des frais de scolarité. Dans le milieu de l’éducation, la formation continue n’est pas a son maximum et l’état devrait en faire plus.

Partie 2

a) La première transformation est celle de l’éducation, qui touche ici plusieurs contextes.

Il y a tout juste quelques années, l’éducation était obligatoire pour avoir un minimum d’instruction. Après l’âge de 16 ans, l’enfant pouvait aller travailler et quitter l’école sans problème et avec plusieurs possibilités d’emplois intéressantes. Depuis les années 2000, les emplois pour les gens avec peu de soclarité se résume souvent à travailler en usine ou encore dans les grands centres. De nos jours, pour avoir un emploi plus intéressant avec un bon salaire, l’éducation est primordiale. Les jeunes vont à l’école et sortent souvent de l’école après l’âge de 25 ans. Par contre, ils ont une solide base et ont accès à plusieurs emplois avec une bonne rémunération. L’éducation permet d’instruire les jeunes, de leurs donner des connaissances et des compétences, ce qui n’était pas le cas il y a 20 ans. L’accès à l’éducation supérieure est plus accessible pour les jeunes, mais également pour ceux qui désirent faire un retour aux études. Les jeunes sont conscients qu’ils doivent aller longtemps à l’école, ou du moins, avoir un diplôme en poche, pour décrocher un emploi décent.

Une deuxième transformation qui touche le marché du travail est sans aucun doute le vieillissement de la population, qui est un contexte social.

De moins en moins de naissance et de plus en plus de personnes vieillissantes, tel est le cas sur notre pays et celui de plusieurs autres pays. Dans les années 1950, le taux de naissance a grimpé. Depuis, le taux de naissance ne cesse de diminuer. Il y a moins de jeunes qui sont disponibles sur le marché du travail pour remplacer les plus vieux qui vont partir à la retraite. Il faut que les entreprises trouvent diverses solutions pour éviter un manque de main d’œuvre. Évidemment, les immigrants vont combler une partie de cette perte mais garder les travailleurs âgés actifs en diminuant leurs heures semble une autre solution pour éviter le manque de main d’œuvre. De plus, on note que l’âge moyen de la retraite est passé de 65 ans à 62 ans dans les années 2000 (Boivin, J. (dir.) (2010). Introduction aux relations industrielles, Montréal, Gaëtan Morin éditeur, Chenelière Éducation, p. 129). C’est un problème assez majeur dans notre pays.

b) Ça peut rejoindre le vieillissement de la population. Afin de les garder actif plus longtemps sur le marché du travail, la formation continue semble une bonne solution. Le fait d’offrir de la formation, sans pousser les gens, et de permettre aux personnes ciblées d’accéder à de meilleures connaissance pour les aider dans leurs tâches peut favoriser les plus vieux à rester au travail après l’âge de la retraite. Avec la nouvelle technologie, les plus vieux peuvent s’y perdre mais avec de la formation,

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