Pourquoi renoncer à l'ordinaire ?

Nous avons tous la possibilité de faire des choix, cependant certains évènements sont tellement ordinaires qu’ils en deviennent habituels, communs et s’en passer devient plus difficile qu’il n’y parait. Abandonner son quotidien est une étape importante et nous pouvons alors nous demander pourquoi renoncer à l’ordinaire autrement dit, dans quelle mesure l’ordinaire fait-il partie de la vie ? Ce que nous verrons dans un premier temps dans une dimension sociale, puis culturelle et enfin plus personnelle.

Dans une certaine mesure la vie quotidienne est rythmée et façonnée en fonction d’autrui. La vie professionnelle est imposée en partie par l’employeur à qui nous devons rendre des comptes. L’employeur lui-même se doit de rendre des comptes notamment à l’Etat. Chaque étape de la vie professionnelle est contrôlée par l’autre car on ne fait que rarement un travail sans lien avec autrui. Les tâches et missions sont pour la plupart répétitives et ne nécessitent que peu le travail de l’esprit. Dans Les temps modernes de Charlie Chaplin sorti en 1936, bien que le monde du travail ait quelque peu changé depuis, la caricature de l’ouvrier à l’usine qui répète machinalement des gestes se voit possiblement remplacé par des automates. Le parallèle entre machine automatisée qui ne pense pas et l’ouvrier est alors frappant.

Dans une certaine mesure la vie quotidienne est rythmée et façonnée en fonction d’autrui. La vie professionnelle est imposée en partie par l’employeur à qui nous devons rendre des comptes. L’employeur lui-même se doit de rendre des comptes notamment à l’Etat. Chaque étape de la vie professionnelle est contrôlée par l’autre car on ne fait que rarement un travail sans lien avec autrui. Les tâches et missions sont pour la plupart répétitives et ne nécessitent que peu le travail de l’esprit. Dans Les temps modernes de Charlie Chaplin sorti en 1936, bien que le monde du travail ait quelque peu changé depuis, la caricature de l’ouvrier à l’usine qui répète machinalement des gestes se voit possiblement remplacé par des automates. Le parallèle entre machine automatisée qui ne pense pas et l’ouvrier est alors frappant.

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