Le temps, les passe-temps

On pourrait utiliser le proverbe de Françoise Sagan « Mon passe-temps c’est laisser le temps, avoir du temps, perdre son temps, vivre à contretemps » pour illustrer les périodes de liberté dans la vie de l’homme. Le dossier soumis à notre étude traite du temps consacré par les hommes pour leurs loisirs. Dans l’article de Gustave Thibon, «Le temps et le passe –temps» paru en 1980, nous pousse vers une réflexion, l’homme est-il capable d’occuper son temps ou a-t-il besoin d’avoir quelqu’un qui lui apprend. De même pour Georges Friedman dans son compte rendu paru en 1982, « Sept études sur l’homme et la technique », l’homme à créer une société industrielle, afin d’accroitre son confort il génère un cycle de production consommation. Puis, dans son article Franck Bauer, « Le monde d’aujourd’hui » paru en 1985, fait part de la place de la politique et de l’économie qui sont des éléments majeur bien plus que le bien-être du peuple.

La société laisse-t-elle suffisamment de temps, à l’homme pour ses loisirs ?

Dans une première partie, nous rendons compte que l’homme a besoin de tuer son ennuie, puis nous détaillerons les enjeux dans la société et les conséquences sur le peuple.

Malgré les nuances que nous allons observer, les auteurs du dossier se complètent pour affirmer que l’homme ne consacre pas assez de temps pour ses loisirs. Ces derniers permettent de constater le bienfait sur la santé. En effet, ils rendent possible des activités conformes à nos goûts et nos envies. Cela permet de tuer l’ennuie, qui est devenue est de plus gros gaspillage de tous les temps. Cela apporte un certain mérite à l’homme, elles ont aussi des limites quand elles sont impliquées dans un caractère économique, on note une évolution en profondeur grâce à l’augmentation inexorable du temps libre même si le travail reste une occupation majeure, la motivation majeure, la motivation essentielle ou même un lieu de rencontre, le temps libre augmente.

De la même manière, l’énergie est aussi un mot clé. Tout comme l’épanouissement, elle permet à l’homme de trouver un second souffle plus libre, plus ample. C’est ainsi que les travailleurs ont vu leurs loisirs accroître à travailler et à spéculer. C’est l’infiltration du travail après le travail plus les conditions de vie deviennent difficile plus la recherche d’argent est importante pour accroître son confort, l’homme rattache des activités à son travail jusqu’au second métier qui lui absorbe tout son temps libre. La société met en avant une politique où le PNB du pays a une part plus importante que le bien-être du peuple. On vit donc dans une société sans « moyen de loisir » poussant chaque individus au travail s’opposants alors à la création de lieu récréatif.

D’où la nécessité d’observer que le développement politique applique une dictature de bourgeoisie parisienne, ils ne se préoccupent pas  de connaître les besoins et les désirs des gens. On constate alors  un désert culturel, cependant dans d’autres pays, des milliers de parc récréatif ont été créé afin de permettent au peuple de consommé tout en pratiquant une activité culturelle, les politiques ne mettent en place que de modeste réalisation. Le peuple et aussi dans une société trop hiérarchiser, mal informés dans un milieu bourgeois au risque d’être dans un désert culturelle.

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