Elie Wiesel / La nuit

GUIDE DE LECTURE PERSONNELLE.

Elie Wiesel, La Nuit.Editions de Minuit, collection « Double », N°42

Lisez les premières pages de la préface dans laquelle Wiesel explique les raisons qui l'ont conduit à écrire ce récit.

Cherchez le sens des mots que vous ne comprenez pas. Pour « Talmud », « Zohar », « Kabbale », ce sont des textes sacrés de la religion hébraïque.*

Qui est Mengele ?

Talmud = Recueil des enseignements des grands rabbins.

Zohar = commentaire de la Torah comme une discussion entre 2 rabbin à la fin de l’Antiquité

Kabbale = Tradition juive donnant une interprétation mystique et allégorique de la Bible.

Mengele est un officier allemand de la Schutzstaffel (SS) né le 16 mars 1911 à Guntzbourg et mort le 7 février 1979 à Bertioga c’est un criminel de guerre qui était médecin dans le camp d'extermination d'Auschwitz durant la Seconde Guerre mondiale.

I- La narration.

Les conditions pour qu'un texte soit autobiographique.

L'auteur, le narrateur et le personnage principal sont la même personne. Le point de vue est interne (donc subjectif) : c'est l'auteur qui raconte ses souvenirs, ce que lui a vécu. Le récit est donc fait à la première personne.

Janvier 1941 →il s’intéresse à sa foie juive il prie

Janvier 1942 →le rabbin Moshe est déporté avec d’autre juifs hongrois qui sont eux tués il arrive à revenir et préviens tous le monde

Janvier 1943 →Il célèbre sa bar Mitzvah et continue à étudier sa religion

Mars 1944 →Sighet occupé par les allemands

Mai 1944 → maisons juives attaquées dans les ghettos.

Juin 1944 →Elie et son pére déporté dans de trains de bétails direction Auschwitz

Janvier 1945 →Pendant 7 mois ils travaillent, pied d’Elie infecté il subi une opération, Son pére meure de dysenterie

Avril 1945 →Il es libéré et envoyé en France il ne se reconnais pas.

Les titres se justifie par : selon la tradition juive de compter le début d'un nouveau jour à partir du crépuscule : « Il y eut un soir et il y eut un matin : jour un. » je souhaitais montrer la fin, la finalité de l'événement. Tout tendait vers une fin – l'homme, l'histoire, la littérature, la religion, Dieu. Il ne restait rien. Pourtant, nous recommençons avec la nuit.

II- Le camp.

Le sens de la devise sur le portail d'entrée.

Le travail, c'est la liberté ! un message au déporté qui travaille dur pour étre libéré mais qui sont tué.

Les mauvais traitements subis.

Crime

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