Dissertation la solidarité une obligation

De nos jours, la solidarité est des plus importante, que ce soit dans la vie de tous les jours ou à plus grande étendue, à l’international par exemple. Entre les conflits mondiaux économiques, écologiques et les besoins d’entraide de tous les jours, la solidarité est partout. Mais derrière ce terme vague se cache tout simplement la relation entre personnes qui entraine une obligation morale d’assistance mutuelle. Ainsi cela peut être traduit par une manifestation concrète des pouvoir d’action d’une personne, c'est-à-dire un acte, personnel voir social. C'est-à-dire un acte qu’il concerne une personne ou qui s’adresse à quelqu’un en particulier voir un acte relatif à un groupe d’individus considéré comme un tout. Ainsi, tous cela nous amène à nous demander si, selon nous, la solidarité doit être un acte personnel ou plutôt un acte social ? Pour répondre à cette question nous développerons deux axes : un premier abordant le fait que la solidarité doit résulter en un acte personnel et le second que cela doit correspondre à un acte social.

Premièrement un acte de solidarité doit être une action voulu par une personne et non influencé par un mouvement de groupe donnant à l’individu l’impression d’une obligation d’agir. Cela doit donc être une action pure venant d’une envie sincère d’aider pour tel ou tel sujet. Un acte personnel dans le sens où on choisi d’agir car cela nous touche personnellement, que ce soit juste une envie de faire plaisir à un collègue par exemple, ou une envie de faire changer les choses contre la famine notamment.

Parallèlement la solidarité sera vraiment fondé si la personne choisi un cas particulier la touchant réellement. Si toute l’énergie n’est reportée que sur un seul problème, un seul besoin alors, toute action ou aide sera d’autant plus efficace que si l’Homme n’est pas divisé. C’est pourtant bien connu, plus une personne à de choses à accomplir, plus elle peine à les faires, voir même à les achever. Par ailleurs, dans le cas des aides demandant des dons d’argent et de temps, si tout est dépensé. Un sujet auquel on est attaché sera également d’autant plus motivant et l’individu sera d’autant plus motivé et impliqué si c’est réellement le cas.

De plus chaque personne peut aider à son échelle. En effet pas besoin de faire dix milles kilomètre pour trouver un membre de la société dans le besoin, ou encore d’être millionnaire pour faire preuve de solidarité. Que ce soit un besoin indispensable, comme le fait de ce nourrir, ou un besoin superficiel comme le besoin d’un stylo, tout le monde peut se rendre utile sans forcement être riche, par des actions, des dons de temps ou d’argent, même minime. Evidement, la taille du porte-monnaie influence la quantité matérielle pouvant être source d’aide et d’acte pour un sujet, une association… Mais c’est la taille du cœur, le temps libre et l’envie qui dictera la quantité immatérielle de service rendu pour une cause ou tout bonnement une personne que l’on souhaite aider.

Deuxièmement un acte est considéré plus solidaire aux yeux de la société s’il rassemble. En effet, les mouvements les plus gros apparaissent comme la vraie manifestation de la solidarité car cela montre un acte désintéressé de la part des individus aidants. L’effet de groupe rendant impossible

...