Mlle De Chartes et les valeurs du classicisme
Commentaire de texte : Mlle De Chartes et les valeurs du classicisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Charlos • 4 Avril 2018 • Commentaire de texte • 571 Mots (3 Pages) • 1 977 Vues
Sujet : Montrez que Mlle de Chartes incarne les valeurs du classicisme.
Le texte est un extrait appartenant au roman La Princesse de Clèves. Il fut écrit par Madame de La Fayette en 1678. L’extrait se situe au début de l’œuvre : c’est le premier portrait de la princesse de Clèves. À travers diverses parties, je vais tenter de montrer que Mademoiselle de Chartes incarne les valeurs du classicisme. Dans une première partie, je vais vous parler de l’éducation que lui porta sa mère, Madame de Chartes. Dans une deuxième partie, je vais vous communiquer les qualités de sa fille. Et dans une troisième partie, je vais mettre en évidence certains aspects de son portrait mélioratif qui est fait tout au long de cette extrait.
Tout d’abord, sa mère lui donna une éducation particulière, basée sur différents principes fondamentaux selon elle : la méfiance, la vertu et avec une rigidité morale et austère.
Madame de Chartes mis bien en garde sa fille par rapport aux hommes. Cela est mis en évidence, par exemple, grâce à l’énumération faite ligne 14-15 : « elle lui contait le peu de sincérité des hommes, leurs tromperies et leur infidélité ». Cette énumération permet d’accentuer les propos de Madame de Chartes en montrant le peu d’attention que portent les hommes vis-à-vis des femmes.
Ensuite, Mademoiselle de Chartes possède de bonnes qualités notamment par son hérédité ou bien par son éthique.
Elle était une des plus grandes héritières de France : elle était convoitée de tous. Nous pouvons mettre cela en évidence grâce à la phrase : « Cette héritière était alors un des grands partis qu’il eût en France ; et quoiqu’elle fût dans une extrême jeunesse, l’on avait déjà proposé plusieurs mariages. » ligne 22 à 23. Le fait d’être une grande héritière lui donnait une importance sociale, ce qui était très bien vu à cette époque.
Mais encore, ça mère voulait lui donner un semblant de vertu et non s’intéresser qu’à sa beauté et à son esprit. Comme il est dit ligne 8 à 10, « elle ne travailla pas seulement à cultiver son esprit et sa beauté, elle songea aussi à lui donner de la vertu et à la lui rendre aimable. » afin qu’elle préfère la vie d’une honnête femme plutôt que de sombrer dans les galanteries où il n’en ressort que des malheurs domestiques.
On peut ainsi dire qu’elle représente un idéal social.
Enfin, les personnes de la Cour la trouvaient parfaite et étaient fascinés : c’était une personne exceptionnelle dans un lieu exceptionnel, au-dessus de tous.
Dès sa première entrée dans la Cour, elle attira le regard de tous : comme nous le voyons ligne 2 à 3 « elle donna de l’admiration dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes. ». Dans un lieu où
se rencontre de grandes personnes, Mademoiselle de Chartes pût prendre sa place sans grandes difficultés, ce qui renforce encore son importance sociale.
De plus, elle était d’une beauté sans égal, voir bien plus que ça : nous pouvons remarquer ceci grâce à l’hyperbole faite ligne 2 : « c’était une beauté parfaite ». Comme rien est parfait, cette hyperbole nous montre qu’un « Beau idéal » est recherché à travers Mademoiselle de Chartes.
Pour
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