Ma maison
Synthèse : Ma maison. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar elodie335599 • 29 Mars 2022 • Synthèse • 605 Mots (3 Pages) • 1 128 Vues
Synthèse 1 Thème 2 : Dans ma maison
Comme disait Pittacus : « J'aime la maison où je ne vois rien de superflu, où je trouve tout le nécessaire » en cette période de crise sanitaire, l’aménagement de notre maison semble particulièrement important. Les confinements multipliés nous ont donnés la possibilité de trier nos objets ou d’améliorer notre habitat.
Le corpus mis à notre disposition comporte trois extraits de genre variés publiés de 1883 à nos jours, abordant la maison et une photographie d’un salon de maison de Louisiane en rotin. De ce fait, une question se pose : « Nos maisons ne sont-elles pas encombrés d’objets ? » Après avoir analysé, notre attachement aux objets nous aborderons par conséquent l’encombrement d’une maison.
Depuis notre naissance, nous avons un logis qu’il s’agis d’une maison ou appartement. Le logis est une extension de notre être d’après Pascaline Messager, nous la décorons à notre goût ce qui renvoie une image de notre personnalité selon Serge Trigout. La photo de la maison de Louisiane nous montre que les goûts des habitants de l’endroit. Ses objets vivent et grandissent avec nous ce qui nous créer des souvenirs comme dans le texte de Maupassant où la femme peine à faire le tri dans ses objets car chacun d’eux à une histoire, une émotion, un souvenir. La maison représente aussi un cadre intime où seuls les très proches sont invités à rentrer, comme dans le texte de Maupassant, la femme prend tous les objets et mobilier de sa chambre, de son intimité ici ses objets sont sa madeleine de Proust ou dans le texte de Serge Trigout lors du décès de sa femme se sont les très proches qui vide les affaires de celle-ci. D’ailleurs depuis tout petit on nous demande de ne pas ouvrir au inconnu, ce qui démontre que la maison est une protection de la famille.
Bien que nos maisons ont des objets auxquels nous portons une valeur sentimentale, il faut faire attention à ne pas les encombrés. Quand nous emménageons ou déménageons-nous avons tendance à ne rien jeter et selon Serge Trigoud être contraint à faire du tri, en effet comme dans le Texte de Maupassant la femme est contrainte de choisir de ses objets car elle déménage dans un logis plus modeste. Sans cette étape elle n’aurait rien jeté. Preuve en est, le grenier est plein de d’objets et de mobilier dont elle n’a pas souvenir ou qui était là avant elle. L’attachement que l’on porte à nos vieux doudous, nos vieux vêtements nous rendent nostalgique et nous remémore nos souvenirs. C’est cette nostalgie qui nous empêche de trier le plus souvent nos objets, la médecine à mis un nom sur ce comportement la syllogomanie selon Serge Trigaud. Cette pathologie touche beaucoup de personne comme dans le texte de Pascaline Messager ou le veuf est incapable de se défaire des affaires de sa défunte femme. C’est le plus souvent lors de cet évènement que la famille ou entourage est contraints de faire le tri dans les objets et affaire ce qui reste difficile mais plus productif car la personne n’est plus et donc ne s’oppose pas à ce tri. De nos jours se sont surtout les personnes seules sans famille et amis qui ont cette envie compulsive de ne plus rien jeter, avec tous ses objets elles sentent moins seules et en sécurité.
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