Le cas : Les jouets VIANNEY
Étude de cas : Le cas : Les jouets VIANNEY. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Marie Sanchez • 6 Décembre 2017 • Étude de cas • 2 566 Mots (11 Pages) • 1 605 Vues
29707000131_029717_1
DEVOIR 1 : ECONOMIE GENERALE – DROIT
PREMIERE PARTIE : ECONOMIE GENERALE
Un financement est une opération permettant à un agent économique (Etat, entreprises, particuliers) de se procurer les ressources (à court, moyen ou long terme) nécessaires au financement de sa trésorerie ou de ses besoins d'investissement. Un financement peut être obtenu principalement par le biais des crédits bancaires ou par le recours à l'émission de titres pour les Etats, les collectivités et les entreprises.
Le système financier mondial à était fortement ébranlé à cause d’une crise financière. Les incertitudes sur la solvabilité des banques et les risques liés à leur interdépendance engendrent une crise de défiance et de liquidité généralisée.
Dans un premier temps je parlerai des modalités de financement et leurs limites. Dans un second temps, j’exposerai les sources de financement pour les grandes entreprises, et enfin, je montrerai l’épuisement des sources de financement et leur impact négatif sur l’économie.
- Les modalités de financement et leurs limites
- Le financement interne
Le financement interne consiste à injecter de l’argent par des moyens internes à l'entreprise. Ce financement interne s'appelle également autofinancement.
- L’autofinancement
L’autofinancement est la capacité de l’entreprise à financer son activité ainsi que ses investissements à l’aide de ses propres moyens financiers. Concernant le taux de marge des PME, on peut constater qu’il est passé de 24 % en 2007 à moins de 21 % jusqu’en 2012. Il est inférieur au taux de marge des GE et ETI ainsi qu’à la moyenne.
L'autofinancement a l'avantage de minimiser le coût de l'investissement puisqu'il n'y a pas d'intérêts à payer sur ces sommes. Également le dirigeant n'a pas de contrôle des tiers et est donc plus libre dans ses décisions. En revanche, l’autofinancement est limité par la faible rentabilité des entreprises.
- Le financement externe
Le financement externe est un moyen financier que l'entreprise trouve à l'extérieur soit en empruntant, soit en augmentant son capital. Les deux sources principales du financement externe à l'entreprise sont le système bancaire et le marché financier.
- Le crédit bancaire
Un crédit bancaire est une somme d'argent avancée par une banque. En contrepartie, vous vous engagez à la rembourser sur une période déterminée et à lui payer des intérêts. Il vous permet donc de réaliser des projets sans attendre d'avoir l'argent nécessaire, mais vous engage contractuellement avec une banque.
Nous pouvons constater que les petites entreprises sont celles qui occupent les taux d’intérêt les plus élevés. De plus, sous la pression des accords de Bâle III, les banques sont devenues très pointilleuses dans l’octroi de crédit, en multipliant leurs exigences en matière de business-plans, cautions, nantissements… Les premières victimes de ce durcissement des conditions bancaires sont les TPE, qui souffrent de la double peine : elles ne peuvent se financer autrement que par crédit bancaire, et, en plus, doivent se démener pour l’obtenir.
- Les sources de financement variées et avantageuses pour les grandes entreprises
Les grandes entreprises peuvent accéder à des moyens de financement beaucoup plus avantageuse et varié car, elles n’ont pas été touchées par cette crise financière de 2007/2008. Toutefois les modes de financement ne leur sont pas restreintes car, elles disposent beaucoup plus de marges importantes et d’une bonne trésorerie. Cependant, elles bénéficient de taux de crédits très faible.
Les grandes entreprises sont déjà développées et ont une place importante sur le marché, c’est pour cela que les banques leur font confiance.
- L’épuisement des sources de financement et leur impact négatif sur l’économie
Un tarissement des sources de financement peut avoir un impact négatif sur le potentiel productif d'une économie.
En effet, le stock de capital pourrait être rapidement et durablement touché car, cette crise peut conduire à une baisse durable du capital productif sous l’effet notamment de la baisse de l’investissement, elle concerne les très petites entreprises. En revanche, l’arrêt définitif de chaines de production son inutilisées si la crise de l’investissement est faible ; lors de la sortie de crise. L’impact sur le niveau du stock de capital pourrait être durable.
De plus, le niveau d’emploi potentiel pourrait baisser transitoirement à moyen terme car, la forte baisse du chômage et la production permanente de l’activité dans certains secteurs peut conduire au maintien prolongé du chômage, à un niveau élevé indépendamment de l’évolution de la conjoncture : affecté par la crise. Il ne peut pas se redéployer vers des secteurs plus dynamiques. La hausse du chômage structurel pourrait alors conduire à un fléchissement du taux d’activité.
Enfin, la crise pourrait avoir des effets progressifs et durables sur l’efficacité du capital et du travail. En effet, à court terme la PGF peut être affectée par le vieillissement du capital provoqué par la chute de l’investissement. Toutefois, l’impact de la crise sur la PGF devrait apparaître progressivement du fait d’une chute des dépenses de recherche et développement car, en période de crise, si les entreprises subissent des contraintes financières, elles peuvent être amenées à restreindre les dépenses de la R&D.
DEUXIEME PARTIE : DROIT
Dossier 1 : Un fichier bien ciblé
Question 1 : Jean RONCLAIR doit-il préciser sur le bulletin de participation que ce dernier a un autre usage que la seule participation au concours ?
Les faits : Jean RONCLAIR est salarié de l’entreprise VIANNEY, spécialisée dans la production et la commercialisation de jouets pour enfants. Elle constate une certaine stagnation de ses ventes ; elle désire donc élargir sa cible en matière de prospection. Pour cela, Jean RONCLAIR propose un projet en partenariat avec une grande compagnie du cirque français : le Zavader.
...