Le bonheur réside dans le nomadisme dans le survenant
Dissertation : Le bonheur réside dans le nomadisme dans le survenant. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar zigzag01 • 23 Août 2017 • Dissertation • 453 Mots (2 Pages) • 1 428 Vues
Le Survenant trouve son bonheur dans la liberté de voyager
Sous-argument 1 : Le Survenant trouve son bonheur dans la découverte du monde
Sous-argument 2 : Le Survenant trouve son bonheur dans la liberté de choix de vie
Sous-argument 3 : Le Survenant trouve le bonheur dans l’acquisition de nouvelles connaissances et expériences.
Le survenant trouve son bonheur en ne pensant pas
Sous-argument 1 : Le Survenant, en raison de son mode de vie, n’a pas de tracas financier
Sous-argument 2 : Le Survenant agit selon ses instincts
Sous-argument 3 : Le Survenant a confiance en la vie
Le mode de vie nomade donne le choix au Survenant de beaucoup voyager, ce qui représente une source de bonheur dans ce roman. Plusieurs caractéristiques positives émanent de ce mode de vie. L’on est libre de faire ce que bon lui semble et cela quand on le veut.
Tout d’abord, l’absence d’une résidence fixe et d’un emploi pousse le Survenant à la quête du nouveau et au rejet des liens d’attachement. Ne pouvant subvenir à ses besoins par lui-même, à son arrivée dans la famille Beauchemin, il déclare : « J’aime la place. Si vous voulez me donner à coucher, à manger, et un tant soit peu de tabac par-dessus le marché, je resterai. Je ne vous demande rien de plus » (p.22). Mais ne pouvant rester longtemps au même endroit, il change d’adresse aussi souvent. Il est impossible de survivre toute une année au Québec aves ses hivers très froids. Ce Grand-dieu-des-routes a la liberté de choisir ou et avec qui il désire passer le prochain hiver. D’ailleurs, il affirme lui-même que « Avant, quand [il avait] demeuré un mois à un endroit, c’était en masse » (p.165). Ainsi, le Survenant laisse croire que le voyage est la source de son bonheur. De plus, vagabonder lui fait découvrir les beautés du monde. A la fin du roman, il affirme devant les habitants du Chenal du Moine : « Vous autres, vous savez pas ce que c’est d’aimer à voir du pays, de se lever avec le jour; un beau matin; pour filer fin seul […] Non! Vous aimez mieux piétonnier toujours à la même place, pliés en deux sur vos terres de petite grandeur» (p.186). Son mode de vie lui permet de découvrir la nature, de nouvelles villes et de nouvelles personnes. Aussi, grâce à ses nombreux déménagements, il a pu acquérir un grand bagage d’expérience et de connaissances diverses. Toutes ses histoires, ses chansons, sa connaissance des métiers et tout ce qu’il sait faire, il les a appris sur la route. Au Chenal le Moine, le Survenant a vécu beaucoup de nouveautés notamment, la vie familiale des Beauchemins et de la fraternité de la paroisse lors des rassemblements.
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