La Princesse de Clèves

accroche

présentation de l’oeuvre

problématique

annonce du sujet

Intro 15 20 lignes

Thèse Oui par ce que) Oui par ce que)

Antithèse Non par ce que)

Antithèse

Madame de La Fayette est une grande auteure du 16ème, connue pour son roman publié d’abord anonymement en 1675 « La Princesse de Clèves ». Celui ci a marqué les esprit car il est le premier roman d’analyse psychologique. En effet, le lecteur explore les sentiments des personnages qui peuvent être de l’amour comme de la colère. Le roman se passe au XVIème siècle, la ou la vertu est un élément fondamental dans la vie à la cour elle est tellement omniprésente que l’on pourrait se demander si ‘’Dans la Princesse de Clèves, les personnages sont ils libres ?’’. Libre de leurs choix, de leur vie de leurs pensées et si la vertu ne créerait pas une sorte de limite qu’ils ne pourraient jamais dépasser. La vertu qui, pour le rappeler est un idéal moral que le personnage cherche à garder, une vie dans le respect des règles, des lois.

Nous verrons donc que les personnages sont contraints à vivre dans un idéal moral, à suivre des règles émise par la cour. Mais nous verrons d’abord que parfois, ils laissent leurs désirs prendre le dessus en oubliant les codes moraux.

Au fur et à mesure que l’on lit le livre, on peut s’apercevoir que les personnes de la cour, sont des gens plutôt aisés, ne manquant pas d’argent et viennent sûrement d’une famille prestigieuse. Souvenons nous que au 16ème siècle, le fait que une personne ait un bon capital financier et vienne d’une bonne famille joue beaucoup. En effet, une mère voudrait absolument que sa fille ait une vie confortable avec pourquoi pas un titre de Princesse à la clé. Elle favoriserait donc une personne riche plutôt qu’une personne ayant moins de sous, en dépit de l’envie de la futur mariée. Nous pouvons donc voir que si tu as de l’argent et que tu proviens d’une famille prestigieuse, tu es libre de choisir la femme que tu souhaites. Bien sûr les hommes sont la plupart du temps avantagés et la femme subit juste.

On peut s’apercevoir dans ce roman que, certains personnage sont plus libres que d’autre, grâce à leurs classe sociale ou à leur beauté. En effet, prenons pour exemple le Duc de Nemmours, Madame de La Fayette nous le décrit comme un coureur de jupons, il multiplie les conquêtes. Mais il n’est pas le seul, le roi en personne se livrent à de nombreuses aventures. Ils ont une liberté sentimentales et ne se limite pas dans leurs conquêtes. Comparé à d’autres personnes comme la Princesse De Clèves qui elle veut rester fidèle à son code moral. Ici le pourcentage d’homme ayant ce mode de vie est plus élevé que les femmes, mais pas nul, en effet Madame de Tournon avant sa mort, avez promis à deux hommes Sancerre et messieurs d'Estouteville de les épouser.

En conclusion nous pouvons dire que selon ton idéal moral, plus ou moins de libertés s’offre à toi.

Mais que le fait de vouloir suivre un certains idéal moral ou de venir d’une bonne famille ne permet pas d’avoir plus ou moins de liberté toute sa vie. C’est ce que nous allons voir dans un second temps.

La princesse de Clèves à été éduquée dans un idéal vertueux par sa mère durant toute son enfance. Lors de son arrivée à la cour, elle se fit remarquer par beaucoup d’homme, à cause ou grâce voyez le comme vous voulez à sa beauté. Tout ces hommes la demandèrent en mariage, elle dût en choisir parmis ceux si sans avoir comme choix de refuser toutes les demandes car c’était le contraire de ce que lui avait inculqué sa mère. Elle choisit donc le Prince de Clèves qui d’après elle était le moins pire. Nous pouvons voir que en tant que femme, elle ne peut pas choisir elle même qui elle veut épouser et est obligée de choisir quelqu’un de prestigieux. Nous pouvons voir que l’éducation peut être quelque chose qui t’enlèves des libertés.

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