LECTURE ANALYTIQUE NANA

LECTURE ANALYTIQUE NANA

Introduction à compléter

Présentation du texte

Le passage étudié constitue le dénouement de Nana,roman d' Emile Zola,publié en 1880. Fille de Gervaise Coupeau,la blanchisseuse de l'Assommoir,l'héroïne éponyme. Atteinte par le syphilis,elle meurt dans d'atroces souffrances ,dans un hôtel situé dans le quartier des grand boulevards.Elle a été veillé quelques amies, à la fois fidèles et curieuse de voir à quoi ressemble le cadavre de celle qui fut l'une des plus jolie filles de Paris.

Cette scène constitue donc la dernière étape de la carrière de l'héroïne du roman,et la fin tragique décrite par Zola avec réalisme et décrit le cadavre d'une façon presque scientifique.

Dans le texte sera donc montré en quoi ce dénouement est une œuvre naturaliste puis en quoi l'écrivain dépasse cette dimension afin de mettre en scène la description du cadavre de Nana et lui conférer une signification symbolique.

Axe 1: phrase d'introduction

L'ancrage réaliste du dénouement est manifeste dans le traitement des informations spatio-temporelles,dans la description des personnages et celle du cadavre de Nana qui en est presque médical. En effet Zola était un écrivain naturaliste souhaitant être le plus réaliste possible quit a donner des détails sordide.

PARAGRAPHE A

L'espace et le temps nous montre que la période historique dans laquelle ce déroule l'extrait,il s'agit de la période du régime de Napoléon III. La mort de Nana se produit au même moment de la déclaration de guerre qui mettre fin au Second Empire.Les cris qui « montent du boulevard :

À Berlin! à Berlin! À Berlin! » participe à la reconstitution d'une époque,en rappelant la ferveur et l'engouement patriotique qui enflamme les foules sur les boulevards.Par ailleurs,Zola fait mourir Nana dans un hôtel des grand boulevards,donc dans le quartier moderne à l'époque. Les grands boulevards ont été conçu par Haussman dans le but d'empêcher la construction de barricades lors d'éventuelle révoltes et donc représente bien les animosité entre le régime et le peuple à l'époque.

PARAGRAPHE B

PARAGRAPHE C

L'évocation du corps, sans idéalisation est une caractéristique des œuvres réaliste et naturaliste

Aucun détail n'est épargné au lecteur. La décomposition du corps est évoqué au moyen d'un vocabulaire de médecin légiste,faisant donc comprendre les effets de la maladie et de la décomposition: « Une croûte rougeâtre », «pustules», «bouton», «virus», «Humeur et de sang», «purulence» , etc. Zola n'épargne aucun détail même dans la description de l'odeur de décomposition du cadavre. «Le cadavre commençait à empoisonner la chambre»

Loin d'être mise en valeur comme dans certain roman traditionnelle le corps est montré comme une chose «jetée la, sur un coussin»: «charnier»,«la boue»,«la moisissure»

La

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