Culture générale et expression, devoir n°3

                CULTURE GENERALE ET EXPRESSION devoir n°3

TEMPS PASSE

A l’étude du cours : 5 heures

A la rédaction du devoir : 3 heures

Pas d’aide pour ce devoir

Note du dernier devoir rendu : 13

Nom de l’élève : CLERC ALTHEA

Note :       /20

Observation du correcteur :

1 ANALYSE DES DOCUMENTS ET EXTRACTION DES IDEES A RETENTIR

1-Analyse des documents et extraction des idées à retenir

1-1

Le document 1 est un article intitulé « le banquet chrétien au moyen-âge », il est écrit par Jacqueline Voisenet en 1996 et destiné à l’université.  Il est de type narratif raconté par Gregoire de Tours.

A travers ce texte l’auteur a voulu montrer l’importance que les banquets avaient à cette époque au Moyen-âge. Cette importance passait par des banquets délicieux et majestueux en rassemblant famille et amis autour d’une grande table bien garnie.

Les banquets avaient pour but de démontraient la générosité, la puissance et l’aisance de ce qui invitaient et pour cela il fallait un repas digne sous tout point de vue.

Les invitations permettaient d’entretenir les relations mais aussi la paix entre certains camps car à travers ce texte on comprend que le repas jour un rôle déterminant dans les relations des convives et on comprend que plus le banquet est majestueux plus les liens se resserrent entre hôtes et invités.

Lors de ces soirées les hôtes montrent leur puissance et leur générosité avec un banquet riche et garni et les invités le démontrent aussi avec les cadeaux qu’ils offrent.

1-2

Le document 2 est un extrait du roman «l’assommoir» écrit par Emile Zola  et vient d'une réédition folio Gallimard de 1978. Le sous-titre de cet extrait est «la fête de gervaise», il est de type narratif.

C'est un long paragraphe qui met en scène plusieurs personnages et le descriptif d'un repas donné par Gervaise à l'occasion d'une fête. On comprend que c'est un repas avec des convives de la classe ouvrière. Ce repas est exceptionnel car la classe ouvrière ne mangeait pas toujours correctement et on comprend que le geste de Gervaise est plein de générosité et de convivialité.

C'est un long paragraphe ou l'auteur développe l'abondance de la nourriture et du vin et  décrit également la façon de manger des invités avec un style familier afin de rendre la scène vivante. Ce qui rend ce texte comme un tableau qui permet de comprendre  la place du festin sur la table mais aussi l'attitude des personnes face à cela.

Cet extrait souligne également la dimension sociale de la fête dans le monde ouvrier. Car la description est beaucoup basée sur le passage de la nourriture considéré comme rare. On voit que le repas de Gervaise donne un aspect de revanche sur la misère.

1-3

Le document 3 est un article mis en ligne le 16 Novembre 2006. Il s'intitule «les femmes dans les banquets politiques en France vers 1848». Il a été écrit par Jacqueline Lalouette et est de type informatif. Ce texte nous informe comment se passer les banquets pour les femmes après la révolution de 1848. Seulement les hommes pouvaient profiter de ces banquets.

On nous explique dans ce texte que les femmes étaient présentent mais ne servaient que de décoration car elles ne participaient pas à, la soirée et ne pouvaient pas goûter aux plats  malgré l'opulence de la nourriture décrite dans le texte.

Et même après la révolution lors d'un banquet les femmes ne pouvaient toujours pas assister au repas, malgré le changement on comprend que cette partie de voir les festins réservés aux hommes n'a pas été modifié.

1-4

Le document 4 est un extrait du roman « l'homme et le sacré » et l'auteur est Roger Caillois Cet extrait a été publié par les éditions Gallimard en 1938. Cet extrait s'intitule « la fête comme excès » et est de type argumentatif.

Cet extrait explique la comparaison entre les fêtes anciennes et celle d'aujourd'hui, et n'ont pas si changées que ça. La comparaison s'explique par l'excès et les débordements et cela n'a pas changé avec les temps. Même s'il y a de l'évolution dans la fête en elle-même, et ne ressemblent pas elles ont tout de même un point commun puisqu'elles sont toujours sources d'excès.

...