Corpus sur la fonction du poête au cours des siècles
Commentaire de texte : Corpus sur la fonction du poête au cours des siècles. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar pokoyo42 • 2 Mars 2016 • Commentaire de texte • 672 Mots (3 Pages) • 1 377 Vues
Corpus
Dans le cadre de l'objet d'étude sur la poésie du Moyen-Age à nos jours.Le corpus nous propose quatre textes : le premier Le laid et le beau tétin de Clement marot, le second L'araignée et l'ortie de Victor Hugo puis Le crapaud de Tristan Corbière et pour finir Le morceau de viande de Francis Ponge issu du Parti pris des choses.Ces textes son respectivement sortie en 1535, 1842,1873 et 1942.Ce corpus nous présente la fonction du poète vu par lui meme au cours des siècles.Ces textes diffèrent selon leurs date,mouvement,auteurs et points de vues sur leurs propre fonctions.On se demande quel est le rôle d'un poète.
Et on regroupera les textes deux trois pour leurs envies de changer le vue du lecteur .On regroupera ensuite le textes pour leurs points de vue sur le
Nous allons tout d'abords traiter des points commun de ces textes.
Tout d'abord nous constatons chez Hugo, Corbière et Ponge le texte est écrit en opposition, le textes nous proposent une vision des choses , pour le premier texte « Hait », « Chatie », « maudites » puis au fil du texte l'avis change « Baiser » , « superbe », « j'aime » , « amour », pour le second « nuit », « vert sombre » et dans le meme temps « Chant » « clair » , « lumière » .
On voit ici les volonté des l'auteur de changé les choses.On remarque aussi des chants lexicaux commun celui du sombre « nuit » « morne », « l'ombre », « sombre ».Ces chants lexicaux nous montre bien l'image péjorative des sujets abordés.Puis en gardant cette idée de parralélisme on voit le chant lexical de la lumière « jour » , « clair » , « lumière » .Sur le plan des registres maitenant on observe des thèmes communs : le registres tragique qui est présent avec le chant lexical de souffrance « chatie » « fatal » .Il est aussi présent a travers la ponctuation « ! » « ? » et au nombreuses antithèse « J'aime (…) je hais ».On remarque que dans les deux textes l'auteur se compare a un animal dans le deuxième cela est plus flagrant « Bonsoir ce crapaud-là c'est moi » alors que dans le second c'est sous entendus par les vers « la chenille en peinant sans cesse devient le riche papillon » et « travaillons poètes ».Dans les deux textes le poètes se compare a un animal peut noble qu'il faut apprendre a comprendre.Au début de chaque texte les l'auteur nous présentent leurs choses tel que les gens les voyent « Elles sont maudites,chétives » , « dans l'ombre » puis les auteurs font une sorte de plaidoirie pour les rendre belles a l'oeuil du lecteur.On remarque aussi qu'a la fin de chaque texte est présent une « chute » dans les deux texte c'est le dernier vers, comme si il avait été rajouté.
Puis nous allont traitez les différences présentent dans ces textes .Pour commencer tle poème de Victor Hugo ne respecte pas de code académique alors que le poème de Corbière est un sonnet inversé, composés de deux tercets qui décrivent et nous introduisent la suite.Dans les deux quatrains l'auteur se décrit lui même a travers un crapaud.Ensuite on remarque que Victor Hugo défend l’araignée et l’ortie comme un avocat en expliquant aux lecteurs que l’araignée et l’ortie sont stygmatisés car elle ont une mauvaise apparence alors qu'elles veulent juste accomplir ce pourquoi elle ont été crées « parce qu’elle sont les tristes captives de leurs guet-apents » . Alors que Corbière fait un autoportrait en expliquant que même si il est repoussant il n'est pas si inutiles « Vois-tu pas son oeil de lumière… » . Malgré le fait que Victor Hugo ne se défendent pas lui meme il utilise le pronom personnel « Je » alors que Corbière ne parle jamais de lui excepté au dernier ver avec « Bonsoir-ce crapaud-là c’est moi" alors qu'il défends sa propre cause.
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