Blues et féminisme noir

Tandis que Didier Francfort s’indigne sur la chanson « Aux armes et cætera », interprétation de l’hymne français « La Marseillaise » par Serge Gainsbourg, dans son article de presse en 2007 ; Lydie Salvayre salue avec honneur l’exploit et le succès de Jimmy Hendrix revisitant l’hymne national américain, dans son roman « L’hymne » daté de 2011. Dans un même registre, Bernard Lavilliers, artiste connu pour sa chanson « Noir et blanc » en 1986, évoque l’influence de la musique qui parvient à dénoncer l’injustice du pouvoir politique. Puis dans un essai, intitulé « Blues et féminisme noir » en 1998, Angela Davis, professeur de philosophie et militante américaine des droits de l’homme, nous interpelle sur les femmes noires qui ont lutté contre la discrimination sexuelle et l’émancipation des femmes en osant écouter et chanter du blues. Nous verrons dans quelles mesures, à travers ces quatre textes, la musique est un moyen d’expression. Tout d’abord, nous expliquerons le rôle de la musique et du chanteur. Ensuite, nous démontrerons le rôle de la musique dans la société. Enfin, nous expliquerons l’importance de la musique dans l’Histoire et encore aujourd’hui.

1 Un moyen d’expression, une liberté, un support pour s’exprimer

2 Son rôle, son but : faire passer un message : dénoncer les injustices

3Son importance : juste des mots mais une arme quand même pour se défendre, cela concerne toutes les générations, tous les sujets, c’est une partie de l’Histoire

Conclusion

Très utile :  au départ, peut-être du superflu, un loisir qui devient un sujet très sérieux, politique.

Phrase d’ouverture : la peinture, la sculpture ou le sport est ce au départ un loisir comme la musique ?

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