Voyage au centre de la terre

Analyse litteraire V. au C. de la T.

Introduction :

je vais vous faire l'analyse litteraire de voyage aux centre de la Terre chapitre 43 de Jules Verne. Jules Verne est un grand dramaturge et ecrivain de la fin du 19ème siecle.

Il ecrit des romans d'avanture et de science fiction dont il est le precurseur, sinon l'inventeur.

Voyage au centre de la Terre, son troisieme roman publié en 1864, est une oeuvre didactique et epique, comme bien souvent dans ses ecrits en avance sur son temps.

Il met en scene un géologue et savant allemand accompagné de son neuveu un peu froussard (qui est le narrateur de l'histoire). Ils entreprennent, avec leur guide, un voyage des plus improbable jonché d'embuche et de danger.

Nous allons etudier plus precisement le passage de la remonter du volacans.

PB + annonce du plan :

Dans cet extrait, nous allons voir de quelle maniere J.V imagine la remontée du centre de la Terre.

Pour commencer nous allons voir l'erruption intermitente et dangereuse,

Par la suite nous verrons un personnage épuisé qui sombre dans la folie,

Et pour finir nous allons voir que le danger est de plus en plus important.

Devloppement :

Axe 1:

Le narrateur sous-entend que l'erruption se fait par étape

nous avons donc une antithèse, puisque une erruption est une action soudaine et assès brutale.

« Il nous laisse respirer avec lui » (L.2) est une personnification etant donner qu'un volcan n'a pas besoin de respirer.

Le complement circonstenciel de temps « à la minute assignée » (L.3) provoque l'étonnement du lecteur car une erruption ne peut pas être anticiper à la minute.

La répétition du verbe « lancer » accentue l'action et montre que les protagonistes sont considerés comme de simples projectiles.

« extreme rapiditée » (L.4), « se cramponner » (L.5) et « hors du radeau » (L.6) sont là pour mettre en avant l'aspect dangereux de leur periple.

Dans la phrase « sans en trouver une explication satisfaisante » (L.8) nous entendons la voix de J.V qui nous dit que même lui n'a pas d'explication rationnelle à ce qui est en train de se passer.

Axe 2:

La phrase au conditionnel « je ne saurais le dire » (L.13) nous informe que même Axel ne sait pas se qui se passe alors qu'il est present et donc acteur de la situation

Le narateur nous informe aussi que même durant les peu de moments de repit, ils sont encore en danger car l'air leurs brulait les poumons.

Le neuveu du professeur, avec toute cette agitation, cette chaleur qui paraît insoutenable et la

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