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Jules Verne : Voyage au centre de la terre – Lecture linéaire 1 - L’incipit

Cours : Jules Verne : Voyage au centre de la terre – Lecture linéaire 1 - L’incipit. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  26 Juin 2022  •  Cours  •  1 471 Mots (6 Pages)  •  830 Vues

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Voyage au centre de la terre – Lecture linéaire 1 - L’incipit

INTRODUCTION : Jules Verne, auteur du XIXème siècle, écrit en 1864 le roman Voyage au centre de la terre. Ce récit raconte l’histoire d’un scientifique et de son neveu partis en expédition au centre de la terre. Dans l’incipit, le lecteur apprend que le professeur Lidenbrock rentre avec précipitation chez lui, provoquant l’affolement de son neveu et de la cuisinière Marthe.

En quoi ce début de roman entraîne-t-il du suspens ?

L1-17 : un début in medias res

L17-27 : la réaction de fuite d’Axel

L27-Fin : L’entrée fracassante du personnage principal, Otto Lidenbrock.

CONCLUSION : Au bout de ces quelques lignes, le lecteur a déjà̀ une idée assez précise du personnage du professeur Otto Lidenbrock, dont le portrait est dressé par quelqu’un qui le connaît bien : son neveu, le narrateur. Un autre personnage nous a aussi été présenté rapidement, Marthe, la domestique, qui semble, elle aussi avoir peur de son maître. L’auteur a donc choisit de nous faire un portrait sans pitié et en mouvement de ce personnage dans cet incipit « in medias res ». Nous ne savons pas encore ce qui a poussé ce personnage à rentrer plus tôt que prévu. Axel n’est pas au bout de ses surprises ! La découverte du professeur va constituer l’élément déclencheur de l’histoire : le parchemin qu’ils essaieront de déchiffrer les conduira vers des aventures mouvementées.

La planète des singes de Pierre Boulle. PARCOURS Science et Fiction

Intro : Pierre Boulle, écrivain du 20e siècle nous présente ici un roman dystopique intitulé La planète des Singes, et publié en 1963, est adapté par Hollywood. Dans ce roman, trois astronautes découvrent une planète où les singes ont asservi les hommes. Le narrateur, Ulysse, visite dans notre extrait l'institut des recherches biologiques, qui mène des expériences sur les humains.

La manière dont l'auteur introduit l'horreur de ces expériences, tant aux yeux du lecteur qu'à ceux du narrateur ?

Ce texte suit un mouvement d'ensemble crescendo et joue sur des effets de bascule pour introduire progressivement toute l'horreur de la situation, d'abord éludée dans le premier mouvement, puis imaginée dans le second avant d'être visualisée crûment dans le troisième.

Conclusion : Cet extrait tend donc vers l'horreur, dans une tension permanente dont le but est également de faire réfléchir le lecteur à ses propres comportements envers les animaux. Cette tendance du genre dystopique se retrouve chez Georges Orwell, dans son roman 1984, qui vise à faire réfléchir le lecteur sur les dérives totalitaristes à travers la figure de Big Brother.

Le serpent qui danse

Intro : Charles Baudelaire est l'auteur de Les Fleurs du mal. Dans ses poèmes, Baudelaire évoque à de nombreuses reprises des figures féminines, notamment Jeanne Duval, une jeune métisse qu'il surnomme sa Vénus noire. Le Serpent qui danse évoque l'amour charnel et passionnel entre Jeanne et le poète. C'est un poème hétérométrique composé de 9 quatrains Dont le lyrisme est teinté d'un certain érotisme.

Que représenter le serpent dans ce poème ?

1- Voyage sensuel et exotique,

2- Vision ambivalente de la femme,

3- Source d’inspiration poétique

Conclusion : Dans ce poème, Baudelaire, évoquant sa relation avec Jeanne Duval, dresse un portrait de la femme à la fois séductrice et dangereuse. Cette ambivalence du caractère féminin ne sera d’ailleurs pas seulement abordée dans ce poème mais dans bien d’autres pièces du recueil.

« Les Boueux sont en grève » de Raymond Queneau dans le recueil Courir les rues, 1967

Intro : Raymond Queneau, romancier, poète et dramaturge du 20 -ème siècle nous présente ici « Les boueux sont en grève », est-il un poème qui décrit les ordures qui jonchent les poubelles et très certainement le sol lors d’une grève des éboueurs. Queneau y traite avec humour de la chance que cela représente pour le poète, véritable alchimiste, capable de transformer la boue et les ordures en œuvres d’art

Comment le poète nous invite-t-il à transmuer les ordures fangeuses en véritables œuvres d’art éclairées par le soleil ?

V1 à 6 : 1er mouvement : jour de grève des boueux ou jour de chance.

V7 à 13 : 2e mouvement : l’inventaire de toutes les ordures merveilleuses qui jonchent le sol.

V14 à 27 : invitation de « celui qui sait » à transfigurer les ordures en œuvres d’art et à dépasser le règne des apparences.

Conclusion : le poète nous invite à transmuer les ordures fangeuses en véritables œuvres d’art éclairées par le soleil grâce à une belle description des objets qui nous permettrais d’imaginer qu’il parle d’une œuvre d’art.

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