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Rédaction partielle sur les incendies

Dissertation : Rédaction partielle sur les incendies. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  14 Mai 2021  •  Dissertation  •  367 Mots (2 Pages)  •  498 Vues

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Explication partielle sur Incendies

La deuxième partie de l’extrait, correspond à un moment de questionnement et de crise. Deux femmes au milieu de la pièce se posent des questions sur l’importance de leurs actions dans la guerre. Se souvient Sawda, témoigne de la scène d'un massacre monstrueux, se questionne face à l’efficacité des mots face à la violence du monde. Nawal essaie de la convaincre partager son expérience en tant que mère à qui l'enfant a été enlevé dès sa naissance. L'extrait représente Alors les paroles de Nawal pour convaincre Sawda de la nécessité d'abandonner les gestes irrationnels. On comprend alors que Sawda parle à Nawal de sa volonté à se soumettre à la violence.

 Nawal débute par employer une personnification, celle du visage. En effet, elle utilise cette idée pour illustrer sa colère face aux événements et aux hommes qui sont directement responsables des actes les plus terribles. Elle affirme ainsi « ou je défigure le monde, ou je fais tout pour le retrouver » (l. 14). Cette personnification présente le monde et les êtres humains comme l'ennemi unique de Nawal. Elle veut défigurer, elle veut se venger. Dans cette phrase se résume la nature du choix: soit un acte subis par les émotions, qui auras surement des conséquences graves que ou un acte mené par réflexion, conformément aux valeurs que Sawda défend.

Ensuite elle fait recours à un parallélisme. Elle dit alors à Nawal « Il a vingt-cinq ans, l’âge de tuer et l’âge de mourir, l’âge d’aimer et l’âge de souffrir » (l. 15-16). Cette phrase explique que son fils maintenant âgé de 25 ans, n’est plus jeune. Les enfants, souvent considérés comme le symbole de l’innocence, montre que cette phrase est une préfiguration dans l’histoire.

Finalement Nawal conforte Sawda en lui disant à quel point elle aussi ressent de la haine. La fin de sa longue réplique s'articule autour de son propre penchant à la vengeance. Elle fait appel à une comparaison « Elle est en moi comme un poison» (l. 19). La sévérité du sentiment qui envahit Sawda a également contaminé la Nawal. On y voit une sensation de douleur, qui est absorbée par un « poison» qui transforme tout en haine.

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