Marie-Hélène au mois de mars
Dissertation : Marie-Hélène au mois de mars. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nana1 • 27 Juillet 2015 • Dissertation • 801 Mots (4 Pages) • 1 919 Vues
INTRO
De nos jours, nous vivons dans un époque postmoderne. C'est-à-dire une période où on retrouve plusieurs valeurs t'elles que l'individualisme et l'importance de vivre le moment présent. Comme nous sommes fixer dans le moment actuel, parfois on pose des actes et on ne réfléchit pas. Aujourd'hui, de plus en plus d'auteurs sont influencés par la postmodernité et par la vie courante. C'est la cas de Maxime-Olivier Moutier, dans son célèbre roman québécois « Marie-Hélène au mois de mars. » Les héros du livre n'agissent pas par méchanceté, mais bien par amour. Dans cette analyse littéraire, on montrera que l'écrivain inflige à ses personnages, la colère, le mensonge et l'infidélité de leurs relations.
PAR 1
En premier lieu, l'écrivain, Maxime-Olivier Moutier, fait ressortir la colère des personnages dans l'extrait du roman. Il emploie le procédé suivant :« Une superbe colère cherche à se frayer un chemin en moi. Une colère comme celle que l'on a devant l'absurde, l'inexorable qui n'a pas de raison d'être: absurde comme un petit écolier qu'on refuse d'écouter et que l'on condamne pourtant au petit coin. J'insiste. » (Lignes 31 à 34) Il s'agit ici d'une comparaison, car l'auteur utilise l'adverbe «comme» qui est un terme comparatif, pour expliquer le niveau de colère que le personnage ressent envers son partenaire de vie. De plus, le narrateur utilise l'extrait suivant: « Je les imagine en train de baiser, elle et casuel, en un flash. Il baise ma femme. La femme que je croyais m'être réservée. Tout à coup, je me mets à croire à la fidélité. Tout à coup, je me sens devenir romantique, je me sens devenir violent. » (Lignes 52 à 55) La citation suivante comprend une antithèse des deux termes «romantique» et «violent». L'auteur démontre que la triste situation du personnage l'atteint personnellement et qu'il le rend violent. Par contre, au fond de lui il croit encore en la beauté de l'amour et à sa relation avec sa femme. Bref, leur comportement est lié à leurs sentiments l'un envers l'autre.
PAR 2
En deuxième lieu, l'écrivain veut démontrer que les personnages vivre dans le mensonge. L'extrait suivant est utilisé pour le prouver: « Et en plus, elle m'appelle «chéri». Ce qu'elle fait laisse toute la place au mensonge. À rien d'autre qu'un mensonge que j'entrevoie, que je n'ai pas envie de comprendre, mais qui me tiens en joue. Je ne sais plus parler. » (Lignes 49 à 52) Il est question ici d'une hyperbole lorsque le personnage affirme que « je ne sais plus parler. » Il exagère l'expression de sa pensée en témoignant qu'il ne peut plus parler. En fait, il veut simplement mentionner qu'il n'a pas de mots pour décrire la situation qu'il vit intérieurement. Ensuite, il utilise le passage suivant :« Le «oui» qu'elle vient de prononcer, naïvement de l'urgence plein la voix, me tombe dessus comme un piano lancé du haut d'un deuxième étage, avec le banc, le lutin et toutes les partitions. J'entre mes mains dans les poches de mon veston. Je ne dis rien. Je manque de mots. » (Lignes 22 à 25) La citation comprend une énumération, car le personnage montre à quel point la vérité le blesse. Il mesure ses blessures à un «banc», un «lutin» et «ses partitions.» De plus, c'est une comparaison, car l'auteur compare le «oui» de la femme, avec un «piano lancé du dixième étage.» Bref, le mensonge est perçu comme un grand problème dans leurs relations.
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