Les 500 millions de la Begum Khemra et Ferris

LA3: seq 4: Utopie et contre-utopie

L’utopie terme inventé  par Thomas Moore écrivain britannique désigne une lieu idéale généralement imaginaire et difficile d'accès, et avec la popularisation de ce mot dans le domaine une variante  est arrivé nommée la dystopie, qui est généralement un monde qui prive sa societe de bonheur ou encore une utopie qui cache un monde cauchemardesque. C’est pourquoi nous allons montrer en quoi cette utopie est finalement une dystopie en parlant d’abord de ses abord utopique puis de ses limites.

        Le mot utopie vient du grec  u-topos qui veut avant tout dire « en aucun lieu », et qui représente un idéal imaginaire. La ville qui est présente dans cet extrait peut donc nous renvoyer à ce terme car elle possède en effet certaines caractéristiques de l’utopie. Comme on peut voir (l.1 à 3) où l’on nous dit que le plan de  cette ville est ‘’ simple et régulier » et que les arbres sont ‘’désignées par numéro d’ordre’’. On nous indique aussi que ‘’De demi-kilomètre en demi-kilomètre, la rue, plus large d’un tiers prend le nom de Boulevard ou avenue, et présente sur un des ses côtés une tranche à découvert pour les tramways’’. C’est donc une ville structurée et organisée où tout est bien pensé. Dans le même ordre d’idée, sont évoqués ‘’les égouts qui sont centralisés hors de la ville’’ l.24, France-ville possède aussi un grands nombre d'édifices dont les plus importants sont : « un certains nombre de chapelles ,les musées, les bibliothèques, les écoles’’ .l.16 .

           En plus de cette ville architecturalement parfaite on retrouve aussi  un fonctionnement idéal. En effet on retrouve des citoyens qui ‘’exercent une profession utile et libérale, dans l’industrie, les sciences ou les arts.’’ La société est donc centrée sur des choses essentielles qui apportent le facilite  aux autres. Les qualités intellectuelles et physiques sont aussi des caractéristiques auxquelles les habitants accordent une grande importance. On le voit lorsque l.17 on nous dit que l’on se concentre sur le développement de ‘’leurs forces cérébrales et musculaires.’’ On nous dit aussi  que les habitants font des sculptures et qu’il sont même doué et qu’ils font dans leur parc des  « morceaux dignes de les [les chefs d'oeuvres] remplacer ».

            On retrouve aussi dans cette ville une cité extrêmement propre, dans laquelle l'hygiène a une très grande importance. Dès leur jeunesse on apprend aux enfants la propreté pour qu’ils « considèrent une tache sur leurs simples habits comme un déshonneur ». C’est surement le point auquel on accorde le plus d’importance dans cette ville, comme on nous l’explique d’ailleurs l.22 à 27. Ce qui fait que l’on retrouve une ville dont ‘’Les rues, pavées de bois bitumé, et les trottoirs de pierre sont aussi brillants que le carreau d’une cour hollandaise ». Cette propreté nous évoque donc une ville agréable, où l’on vit en harmonie, et où de plus les richesses sont abondantes.

         Mais le but d’une utopie et avant tout d’apporter le bonheur a la société. Or nous allons ici montrer que son fonctionnement a ses limites et qu’elle se rapproche d’une dystopie. En effet une utopie peut ainsi se transformer en dystopie. Une dystopie est une société imaginaire régie par un pouvoir totalitaire ou une idéologie néfaste. La ville de France-Ville qui tout d’abord paraît utopique nous cache une autre face plutôt fâcheuse. Effectivement Cela nous ait décrit dans le texte avec une réglementation de la vie des citoyens. Car les citoyens ne sont pas autorisé a vivre comme ils le souhaitent. Comme nous pouvons le voire avec “les existences oisives n’y seraient pas tolérées.” (L.12) nous montre en effet l’obligation des citoyens de France-Ville a travailler. De plus, la société de cette ville a un nombre limité de domaine à étudier. Comme nous pouvons le voire avec “une profession utile ou libérale, dans l’industrie, les sciences ou les arts” ( L.10-11) montre en effet une liste de domaine professionnel très restreintes. Effectivement, la ville ne prend pas en compte les domaines sportifs, services publics…

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