Le survenant est un homme ouvert d’esprit qui recherche toujours de nouvelles expériences pour pouvoir étendre ses connaissances.

Étape 1 : Plan du développement

Argument principal 1

Le survenant est un homme ouvert d’esprit qui recherche toujours de nouvelles expériences pour pouvoir étendre ses connaissances.

Sous-argument 1.1 : Le survenant connaît beaucoup d’histoires.

Sous-argument 1.2 : Le survenant sait jouer du piano et de la musique de divers endroits

Sous-argument 1.3 : Le survenant parle comme un étranger pour les paysans à cause de ses connaissances.

Argument principal 2

Le survenant n’aime pas les traditions ainsi que le mode de vie sédentaire, mais préfère plutôt la liberté de vivre au jour le jour.

Sous-argument 2.1 : Le survenant ne veut pas fonder de famille.

Sous-argument 2.2 : Le survenant aime le sentiment d’être le maitre de sa propre vie et n’aime pas les obligations.

Sous-argument 2.3 : Le survenant quitte la maison des Beauchemin, car il considère que son séjour a été suffisant.

Étape 2 : Rédaction

Le bonheur réside dans le nomadisme.

Nombre de mots [602]

Dans Le Survenant, le bonheur réside dans le nomadisme. En effet, le survenant n’aime pas les traditions ainsi que le mode de vie sédentaire, mais préfère plutôt la liberté de vivre au jour le jour. D’une part, le survenant ne veut pas fonder de famille. Il rejette les avances de Angélina, car il ne veut pas la décevoir puisqu’il est incapable de rester dans un mode de vie sédentaire en ayant une famille. Comme le montre cette citation : « Quand on est vraiment mari et femme, il me semble qu’on met tout en commun […] Tente-moi pas, Angélina. C’est mieux. À grande foulées, il se perdit dans la nuit noire. » (p.192) Comme le survenant tient à Angelina, il préfère clarifier les choses en disant qu’il ne ferait pas un bon mari. Effectivement, il mentionne que « La femme qui [l’] aura, réfléchit le Survenant, pourra jamais en dire autant de [lui]. » Et malgré les compliments qu’Angélina lui donne, il va quand même refuser parce qu’il sait très bien que c’est la meilleure chose à faire. De plus, le survenant aime le sentiment d’être le maitre de sa propre vie et n’aime pas les obligations. Il dit aux habitants du Chenal du Moine : « Vous autres, vous savez pas ce que c’est d’aimer à voir du pays, de se lever avec le jour, un beau matin, pour filer fin seul […] Non! Vous aimez mieux piétonner toujours à la même place, pliés en deux sur vos terres de petite grandeur » (p.186). En effet, le survenant fait l’éloge du nomadisme en énumérant des aspects positifs de ce mode vie. Il reproche aussi aux habitants du Chenal du Moine leur manque de volonté pour voyager et de curiosité puisqu’ils pratiquent le Sédentarisme, ce qui est le mode de vie opposé au nomadisme auxquelles il démontre une nette préférence. D’autre part, le survenant quitte la maison des Beauchemin, car il considère que son séjour a été suffisant. En effet, son départ a suscité la stupéfaction des habitants du Chenal du Moine : « Le survenant est parti! Pendant que les marches geignaient sous son pas pesant […] Sans un mot. Sans un signe. Sans un geste de la main. » (p.195) Effectivement, le Survenant est parti sans dire un mot, car il est fidèle à sa réputation de survenant. Comme la définition du mot « survenir » signifie « arriver à l’improviste », on peut constater qu’il est reparti aussi vite que son arrivée. Son comportement signifie qu’il agit comme un voyageur qui a accompli son aventure et qu’il ne veut plus abuser de l’hospitalité des Beauchemin. Donc, c’était l’heure pour lui de s’en aller vers de nouveaux horizons. Bref, on a pu constater que le Survenant trouve le bonheur à travers le nomadisme. Car il ne veut pas fonder une famille, il veut avoir la liberté de faire ce qu’il veut et il quitte la maison des Beauchemin sans aucun remords.

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