Avantage de la théorie de gestion de symptômes

Philo critique+  apogée

La théorie de gestion de symptômes présente de nombreux avantages : en effet ces auteurs se sont basés sur un travail empirique et des efforts collaboratifs afin de la mettre en place ce qui explique sa multidimensionnalité et la facilité de son application dans la pratique. De plus elle est venue renforcer d’autres théories déjà existantes comme celle de Orem et de Sorofman afin de les améliorer et s’est basé sur d’autres domaines tel que l’anthropologie et la psychologie (Eicher et al. 2013) afin d’avoir une dimension plus holistique de la personne. Ainsi, comme vu précédemment les concepts de la SMT tel que l’expérience des symptômes qui comprend la perception, l’évaluation et la réponse (Eicher et al.2013) permet à l’infirmière d’avoir une relation transpersonnelle et une introspection avec le patient afin de mieux explorer les symptômes, les comprendre et aider le patient à les gérer. Ici avec M. Duclos nous avons pris en compte son environnement, son état biopsychosocial fragile, son travail et la compréhension de sa maladie afin de l’aider à adopter des stratégies. Ces dernières comprennent toutes les interventions qui sont mises en place par le patient et l’infirmière pour atténuer un groupe de symptômes. Dans notre situation en mettant l’accent sur l’éducation, la prise de conscience et la capacité du patient à se prendre en charge nous avons réussi à obtenir des résultats satisfaisant pour M. Duclos comme le contrôle de son diabète et par là même la guérison de sa plaie, ainsi que la diminution de sa douleur et un changement de son mode de vie. L’approche étant un processus dynamique il est facile d’effectuer des changements lorsque les stratégies sont inefficaces, dans le cas de M. Duclos la gestion de la douleur à diminuer mais est encore présente donc on devra adopter d’autre stratégies afin de l’atténuer davantage.  Un autre point positif de la théorie est son applicabilité dans plusieurs maladies chronique mais également d’autres situations qui pourraient occasionner des symptômes comme le stress au travail (Eicher et al.2013). M. Duclos qui a plusieurs comorbidités pourrait s’en servir pour d’autres symptômes.  En outre, elle peut également s’élargir à un groupe ou une famille qui ressente les mêmes symptômes (Eicher et al.2013). De plus en ciblant la gestion des symptômes de M. Duclos et en identifiant les barrières et les facteurs influençant les symptômes (ici un diabète débalancé, un déni et un manque de connaissance) nous avons réussi à réduire ses séjours à l’hôpital, il entrevoit subséquemment une perspective d’amélioration de sa qualité de vie. Par conséquent la théorie de gestion de symptômes est une approche efficiente pour guider l’infirmière dans le but d’augmenter le rôle du patient dans l’auto-soin (Eicher et al.2013), cependant elle repose sur l’adhérence qui n’est pas toujours facile à suivre.

Certes, la théorie de la gestion des symptômes comportent certains points négatifs. En effet, elle fait preuve de limite dans la mesure ou elle repose sur l’adherence du patient .si l’aidé ne désire pas s’impliquer intégralement ou est dans l’incompréhension, dans le traitement des symptômes survenus, qui lui nuit, celui-ci se retrouve à faire aucune progression face à son expérience de sa maladie et pouvant même régresser. Or, lorsque nous l’appliquons dans le cadre de M.Duclos,. De plus, son problème est récidivant, malgré toutes les interventions qui ont été entrepris. Ainsi, les actions que nous avons faits a grandement aidé à soulager sa douleur, mais que partiellement. Malheureusement, la théorie de la gestion des symptômes ne nous permet pas de pouvoir prédire ou prévoir l’efficacité de nos actes. Justement, malgré l’usage adéquat de sa médication, la douleur que M.Duclos à uniquement diminuée à 6/10. Donc, on peut se retrouver à réaliser des essaies et erreurs avant de trouver la solution optimale pour la gestion des symptômes incommodants. Par ailleurs, la théorie de la gestion des symptômes souffre de

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