Arguments, la parure
Dissertation : Arguments, la parure. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar emmyroussy • 17 Octobre 2017 • Dissertation • 458 Mots (2 Pages) • 2 446 Vues
Troisièmement, il est juste de dire que le réalisme sert à nous donner la vision la plus complète, la plus réelle et la plus simple puisque Maupassant veut nous montrer l’opposé de la réalité. En effet, les valeurs de l’époque du réalisme vu par l’auteur est immanquable : Lorsque Mathilde songeait : «aux grands salons» (p.161) «aux plats exquis» (p.161) «aux argenteries reluisantes» (p.161) «aux dîners fins» (p.161). » On voit clairement que les valeurs étaient entre autre matérialistes. C’est- à-dire plus qu’ils possédaient de bien matériel luxueux, plus ils étaient considérés comme des bourgeois. Dès que tu n’étais pas considérés comme une personne de la haute bourgeoisie, ceux-ci n’était pas invité à tout souper ou réveillon. Il fallait que tu sois vêtue d’une grande beauté somptueuse, posséder une importante somme d’argent, vivre dans un quartier splendide et être un haut fonctionnaire ou autre. Tandis quand Mme Loisel souffrait : «de la pauvreté de son logement, de la misère des murs» (p.160) «se sentant née pour toutes les délicatesses et tout les luxes.» (p.160). Ici, on voit principalement du bonheur noir. Elle n’est pas heureuse de ne pas être considéré comme une personne au sommet de la hiérarchie sociale. Elle vit dans un quartier piteux, ils reçoivent un faible revenu, ils ne possèdent de vêtement de qualité supérieure. On remarque que dans ce roman, que c’est une femme extrêmement mal dans sa peau. De plus, il est encore possible d’affirmer qu’il est juste de dire que le réalisme permet de nous faire percevoir la vision la plus complète, la plus réelle et la plus simple puisqu’il nous démontre la vraie vie dans ses moments de bonheur et de souffrance. Mathilde dans ses moments de bonheur : « […] et son cœur se mit à battre d’un désir immodéré.» (p.164) «Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir, ne pensant plus à rien, dans le triomphe de sa beauté, dans la gloire de son succès, dans une sorte de nuage de bonheur fait de tous ces hommages, de toutes ces admirations, de tous ces désirs éveillés […]» (p.165). Ces extraits nous expliquent à quel point Mathilde peut être heureuse dès qu’elle est dans la peau d’une personne bourgeoise pour une soirée. Elle explose de bonheur. Dès que la soirée est finie, elle devient automatiquement malheureuse : «la vie horrible des nécessiteux.» (p.169) «usant ses ongles roses sur les poteries grasses et le fond des casseroles.» (p.169) «défendant sou à sou son misérable argent.» (p.169). Ici, ce passage nous explique que Mme. Loisel est absolument bouleversée. Elle déteste la vie qu’elle entreprend présentement et ce sentira comme ceci toute le reste de sa vie. Elle est complètement jalouse des personnes qu’ils vivent dans la haute bourgeoisie.
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