Analyse de la fable l'homme et la couleuvre
Commentaire de texte : Analyse de la fable l'homme et la couleuvre. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Feunix • 16 Septembre 2018 • Commentaire de texte • 438 Mots (2 Pages) • 13 205 Vues
ANALYSE DE LA FABLE "L'HOMME ET LA COULEUVRE"
QUESTION 1:
Dans ce début de fable, le champ lexical de la justice n'est pas utilisé par l'homme. Il est utilisé seule fois par le narrateur vers 9: "fût-il coupable ou non." Ce qui montre que l'homme a condamné le serpent sans jugement. Par contre, il est utilisé de nombreuse fois par le Serpent: " sil fallait condamner " ( v. 15); " Toi-même tu te fais ton procès " ( v.18) ; " ta justice " (v. 20) ; " Selon ces lois, condamne-moi " (v. 22 ). Ce qui est normal puisqu'il plaide sa cause et critique la "justice" de l'Homme.
QUESTION 2:
Dans cette fable, la vache, le boeuf et l'arbre défendent la même thèse: celle de la nature. Cette nature qui à apportée du "lait", de "l'ombre", des fruits", le "labeur" des animaux, et bien d'autres choses à l'Homme; pourtant il est ingrat car quand il ne la détruit pas il ne la récompense pas.
D'après la vache, l'Homme est ingrat. En effet, elle l'a "nourris" ( v. 35), elle lui a "rétablit [la] santé" ( v. 39 ), mais maintenant qu'elle est vieille, il l'abandonne attaché a son poteau car elle devenue inutile: "me voilà vieille; il me laisse en un coin"
D'après le boeuf, l'Homme réserve un sort injuste au boeuf qui en ayant travaillé toute sa vie et ayant reçu de nombreux coups ait pour "récompense" d'être sacrifier en l'honneur des dieux.
D'après l'arbre, il a fourni à l'Homme en fonction des saison de "l'ombrage" des "fruits" et il a embelli sa vie. Il est coupé quand un "rustre" l'a décidé.
QUESTION 3:
Le discours de la vache est rapporté au discours direct contrairement à celui de l'arbre qui est rapporté au discours indirect. La vache insiste sur les dons qu'elle a fait à l'Homme. Dons qui lui ont permis de se nourrir et de s'enrichir. Elle souligne la durée du lien de fidélité qui les unissait. Maintenant elle subi la négligence de l'Homme qu'elle qualifie d'ingratitude. L'arbre énumère également ses dons cependant il mentionne l'ingratitude de l'homme mais il n'insiste pas dessus. Il nous rappel sa libéralité (vers 74) entre deux mentions de sa destruction programmée.
QUESTION 4
Le pronom "nous" désigne l'humanité toute entière car c'est toute cette race humaine qui bénéficie de la nature. Il s'oppose à "celui-ci" et à "il" utilisé dans le discours de la vache. L'Homme est donc désigné comme bénéficiaire mais aussi comme ingrat. En effet, le nous implique le lecteur pour qu'il réfléchisse à ces bienfait en opposition à l'utilisation de la 3ème personne pour l'ingratitude " un rustre l'abattait ".
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