Habitat participatif

<< On ne fait pas la ville sans sans ces habitants . >> Slogan du réseau de l’habitat participatif

Les documents étudiés sont issus du thème dans ma maison mais s'intéressent plus précisément sur un type d’habitat qui est celui de l’habitat participatif . Il repose sur une démarche citoyenne : il permet à des groupes de personnes de construire leur logement et de partager un mode de vie écologique et communautaire, à moindre coût. Il est encadré par la loi Alur. Le dossier étudié est composé de quatre documents, dont trois d’entre eux documents sont récents. Le document B, est un article d’un journal « le monde » ayant pour titre « les Français, découvre l’habitat participatif » publié le 12 juillet 2015, et écrit par Isabelle, Rémi Lefebvre. Le document C est un extrait du magazine << habitat, participatif : vivons, heureux, vivant, groupé » ecrit par Stéphane Perraud. Le document D est une affiche avec pour titre « Voisin’ages » que l’on peut retrouver sur le site habitatparticipatif–france.com publié en septembre 2020 . Le document A, diachronique , est un extrait du roman écrit par Honoré de Balzac en 1835 « Le Père Goriot ». Nous en venons donc à nous demander, Comment l’habitat participatif peut-il être bénéfique pour la société ? Afin de répondre à cela, nous allons voir dans un premier temps la définition d'un habitat participatif en présentant ces différents enjeux , puis, nous verrons qu’elle aspect social écologique et humain l’habitat participatif tente de transmettre .

L’habitat participatif peut exister seulement s' il est fondé sur des bases collectives mais également sur un investissement personnel de chacun des participants qui détiennent une partie privée au sein de l'habitat. On retrouve cette idée dans le document A où l’on voit qu’il existe dans le pensionnat un espace privé ( chambre ) pour les habitant mais également un des lieux collectif où tous peuvent avoir accès et partager des moments. Le document C retranscrit également cette idée en séparant les espaces privés des espaces communs et collectifs. Des espaces collectifs divers comme des potager ou des cours qui sont partagés, et les espaces privés qui sont les lieux de vie des habitants ( maison ou appartement). Le document D lui, montre en image le côté ( ouverture à tous ) de l’habitat participatif en mettant en scène un espace commun mais aussi privé avec des appartements autour.

Un lourd projet mis en avant par le document C , expliquant bien l’importance du collectif et qu’un suivi financier et organisationnel est obligatoire pour la réussite.

Suivis par la loi ALUR ( L'accès au Logement et un Urbanisme Rénové) . Cette loi a pour objectif de favoriser les projets d’habitat participatif dans les villes.

De plus, les municipalités prennent à cœur le développement des habitats participatifs pour leur aspect économique et la bonne image qu’ils renvoient.

Des appels au projet peuvent donc être lancés et permettront à ceux qui s’y lancent de recevoir un suivi et des aides convenables à l’aboutissement du projet.

Pour revenir aux compétences collectives, les participants se mettent au service de tout le monde permettant plus d’économies et créations de liens entre les habitants . Les compétences de chacun sont donc réparties lors de réunion entre les participants, renforçant la cohésion de groupe.

La définition de l’habitat participatif et la présentation des valeurs qu’il représente étant faites, nous allons nous

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