Influence de l'herpès sur la grossesse

1. Les lymphocytes B sont activés par les cellules dendritiques grâce à la cytokine et par les lymphocytes auxiliaires. Cela entraîne leur différenciation en plasmocytes qui sécrètent des anticorps.

2. La vaccination est le fait de préparer une personne contre l’infection d’une certaine bactérie, virus ou autre. Pour ce faire, on peut injecter des souches non activées, et donc moins dangereuses, du corps à la personne, ce qui va activer la réaction immunitaire. A la fin de celle-ci, il restera chez l’individu des lymphocytes mémoires qui se « souviendront » du corps l’ayant infecté. Cela permettra au système immunitaire de se défendre en cas de réelle infection de ce corps.

Partie 2)

L’avortement désigne le fait pour une femme enceinte de perdre, volontairement ou non, le fœtus présent dans son corps. Cet avortement peut être causé par différentes raison telles que des maladies. L’une de ces maladies est causée par une infection du virus de l’herpès, une infection sexuellement transmissible, qui va causer la destruction des cellules du fœtus et donc l’avortement. Nous chercherons ici à montrer comment cette infection mène à un avortement.

Dans le document 1, on apprend l’existence des antigènes HLA, présents sur la majorité des cellules. On voit aussi l’existence d’une forme particulière de HLA, les HLA-G. Ces molécules sont présentes sur le trophoblaste, un tissu protégeant le fœtus du système immunitaire de sa mère. Le fœtus possède aussi des HLA à sa surface, tant de la mère que du père. Le document 3 parle lui des NK (natural killer), des cellules présentes dans le système immunitaire comportant un récepteur KIR qui va reconnaître les molécules HLA-G. Si une cellule n’en comporte pas, le NK va libérer des perforines, qui vont ensuite former un canal dans sa membrane. Cela permet une entrée d’eau qui fait éclater la cellule. Les expériences du document 1 nous montrent que des cellules du fœtus placées sans protection avec des cellules du systèmes immunitaire, les NK, de sa mère sont détruites, ce qui n’est pas le cas des cellules du trophoblaste. Dans le document 2, On apprend les résultats de cultures de lymphocytes NK de la mère avec différentes cellules, ces dernières étant des cellules sans HLA-G, les mêmes cellules dans lesquelles ont a rajouté et fait s’exprimer des HLA-G, ces cellules avec un anticorps anti HLA-G et enfin des cellules du trophoblaste. On remarque que les cellules de la première et de la troisième ont été détruites mais pas les autres.

Or, on sait que le système immunitaire attaque tout corps étranger présent dans l’organisme, celui-ci pouvant présenter un danger, et que les cellules ayant survécu aux expériences possèdent toutes des HLA-G.

On en déduit que si les NK du système immunitaire de la mère attaquent les cellules fœtales c’est à cause de la présence de HLA du père sur ces dernières et que les HLA-G présentes sur le trophoblaste permettent la défense de ces cellules.

Dans le document 4, on voit tout d’abord dans le graphique que lors de la présence avec des cellules souche du virus de l’herpès, la quantité d’ARNm codant produite est bien inférieure à la normale, avec approximativement 1 unité arbitraire

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