La baignade

L’étranger est le premier roman d’Albert Camus qui est un écrivain et un philosophe du XXe siècle d’origine algérienne et qui a reçu le prix Nobel. Cette œuvre, écrite en 1940, parue en 1942 et placée parla suite dans son cycle de l’absurde, est l’une des plus célèbre de la littérature française, en particulier ses premières lignes. Nous allons d’ailleurs nous pencher sur celle-ci dans lesquelles le narrateur, qui est le personnage principal, nous raconte sa vie. En quoi cette partie est-elle en relation avec le reste de l’œuvre ?

Afin de répondre a cette question, dans un premier temps nous relèverons les information principales de la rencontre puis nous analyserons les codes sociaux.

Pour commencer Meursault rencontre Marie à la plage « J’ai retrouvé dans l’eau Marie Cardona, … », sachant qu’il est en deuil car sa mère est décédé la veille et il se trouve dans un lieu de loisir ou il compte profiter de sa journée de congé « Pendant que je me rasais,je me suis demande ce que j’allais faire et j’ai décidé d’aller me baigner ».

Ensuite, le narrateur utilise le présent de narration et le passé compose se qui donne l’impression que le moment dure et qu’il semble important pour le narrateur. Meursault nous dit « dont j’avais eu envie a l’époque. » en parlant de Marie ce qui évoque un désir, il y a aussi le champs lexical du corps « seins, ventre, taille » qui montre l’attirance du narrateur et le désir physique. L’utilisation du pronom « nous » montre l’unité des corps et l’union désirée de Meursault et Marie. Les phrases sont plus courtes et elles s’enchaînent ce qui montre ainsi la montée du désir.

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