Les goûts sportifs

SOCIOLOGIE

TD 1 : Les goûts sportifs

Sujet : Après avoir montré en quoi il existe une diversité de goûts et dégoûts en matière de sport, vous indiquerez comment cette dernière est socialement déterminée.

Textes à l’appui :

● Lizé Wenceslas, Roueff Olivier « La fabrique des goûts », Actes de la recherche en sciences sociales, 181-182, 2010, pp. 4-11.

● Megherbi Damien, « Profils socio-économiques des pratiques d'activités physiques et sportives », in Jean-Benoît Dujol, Les pratiques des activités physiques et sportives en France, Résultats de l'enquête menée en 2010 par le ministère en charge des Sports, de l'Expertise et de la Performance, 2016, p. 21-31.

● Mennesson Christine, Bertrand Julien, Court Martine, 2016, « Forger sa volonté ou s'exprimer : les usages socialement différenciés des pratiques physiques et sportives enfantines », Sociologie, Vol. 7, n°4, 2016, pp. 393-412.

● LefÈvre Brice & Ohl Fabien, « Consuming sports: distinction, univorism and omnivorism », Sport in Society, 15:1, 2012, pp. 44-63, DOI:10.1080/03031853.2011.625276

Definitions des termes

En quoi : interpelle généralement le lien de causalité et renvoie donc aux raisons on pourrait facilement remplacer « en quoi » par « pour quelles raisons »

Diversité : la diversité représente un caractère varié, le mot diversité peut être utilisé lorsque l’on parle d’être humain, de culture, de classe sociale ou encore comme dans notre thème ici les gouts.

Goûts et dégoûts : le goût c’est un jugement d’une valeur, j’aime/j’aime pas ce sont des valeurs qui sont alimentés car nous recevons des informations de notre famille, de l’école, des lieux d’éducations en générale. On a souvent du mal à s’opposer aux valeurs qu’on nous transmet. Les goûts se forme généralement dans notre jeunesse c’est ce moment que l’on créer notre personnalité

Sport : il existe donc plusieurs définitions du sport comme celle de Pierre de Coubertin qui dit que le sport est un culte volontaire et habituel de l’effort musculaire intensif appuyé sur le désir de progrés et pouvant aller jusqu’au risque pour lui le sport est fait pour les forts. Celle de Pierre Parlebas(1981) est plus général il choisis d’exclure l’engagement physique il suffit d’avoir une activité motrice et que cette activité soit codifiées sous forme de compétition et institutionnalisées.

Comment : de quelle manière, par quel moyen

Socialement : c’est ce qui concerne la société en général, d’un point de vue social, de l’organisation de la société

Déterminée : quelque chose qui a été précisé, défini

● Lizé Wenceslas, Roueff Olivier « La fabrique des goûts », Actes de la recherche en sciences sociales, 181-182, 2010, pp. 4-11.

Citations :

Le goût est l’un de ces objets où les sciences sociales viennent régulièrement jouer leurs spécificités ainsi que leurs oppositions internes.

● Megherbi Damien, « Profils socio-économiques des pratiques d'activités physiques et sportives », in Jean-Benoît Dujol, Les pratiques des activités physiques et sportives en France, Résultats de l'enquête menée en 2010 par le ministère en charge des Sports, de l'Expertise et de la Performance, 2016, p. 21-31.

Si la culture de masse ne supprime pas les hiérarchies des goûts et les dominations sociales, elle nous invite à les repenser.

Les gouts et les couleurs ne se discute pas en revanche il se développe et sont souvent nourries de représentations sociales, nos lieux de vie, sexe, âges ou autre que nous verrons tout au long du développement. Tout d’abord nous allons décrypter le sujet un peu plus en profondeur en définissant les termes importants, en quoi interpelle généralement le lien de causalité et renvoie donc aux raisons, on pourrait facilement remplacer « en quoi » par « pour quelles raisons ». La diversité représente un caractère varié, le mot diversité peut être utilisé lorsque l’on parle d’être humain, de culture, de classe sociale ou encore comme dans notre thème ici les gouts. Ce qui nous amènes à définir les termes suivant goût et dégoût, le goût et le dégout est un jugement d’une valeur, j’aime/j’aime pas ce sont des valeurs qui sont alimentés car nous recevons des informations de notre famille, de l’école, des lieux d’éducations en générale. On a souvent du mal à s’opposer aux valeurs qu’on nous transmet. Les goûts se forme généralement dans notre jeunesse c’est ce moment que l’on créer notre personnalité. Nous sommes en STAPS donc nous parlons des goûts sportif il faut donc réussir à définir le sport qui est un terme compliqué à définir, il existe donc plusieurs définitions du sport comme celle de Pierre de Coubertin qui dit que le sport est un culte volontaire et habituel de l’effort musculaire intensif appuyé sur le désir de progrès et pouvant aller jusqu’au risque pour lui le sport est fait pour les forts. Celle de Pierre Parlebas (1981) est plus général il choisit d’exclure l’engagement physique il suffit d’avoir une activité motrice et que cette activité soit codifiée sous forme de compétition et institutionnalisées. Comment de quelle manière, par quel moyen la diversité de goût et de dégoûts est socialement c’est-à-dire ce qui concerne la société en général, d’un point de vue social, comment tout ça est déterminé, précisé, définie. Quels est les facteurs principal dans l’émergence de mes goûts ? Est-ce-que les goûts de mes parents se reflète réellement sur moi ? Comment arrivons nous a choisir le sport qui nous passionnera toute notre vie ? Nous emmétrons l’hypothèse que le choix de notre sport et de nos goûts sont influencé par la société. Nous commencerons par déterminer qu’il existe une diversité de goût et de dégoûts en matière de sport, nous poursuivront en prouvent comment la société influe sur nos gouts. Et pour finir nous verrons qu’il n’y a pas que la société qui influence nos choix mais nous avons également un libre arbitre et la culture de masse.

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