Lanceurs d'alerte

EMC

Qu’est-ce qu’un lanceur d’alerte ?

Un lanceur d’alerte est une personne qui, dans le contexte de sa relation de travail, révèle ou signale un état de fait mettant en lumière des comportements illicites ou dangereux qui constituent une menace pour l’homme, l’économie, la société, l’État ou l’environnement, c’est-à-dire pour le bien commun, l’intérêt général

Quel est leur rôle ?

Les lanceurs d’alerte ont un rôle très important dans la France d’aujourd’hui. Ils permettent de mettre en lumière des problèmes et de mettre au courant la population sur des problèmes et des phénomènes qui la concerne comme les procès des attentats de Paris ou le cas des réfugiés afghans.

Les lanceurs d’alerte, c’est aussi des personnes qui veulent faire bouger les choses en dévoilant des sujets qui fâche ou qui dérange afin qu’on puisse y prêter attention et que des mesures soient prises pour y remédier.

Agissant pour ce qu'il estime être le bien commun, l'intérêt public ou intérêt général

Il s'agit généralement d'une action bénévole et désintéressée, souvent contre l'avis de sa hiérarchie, pour informer instances officielles, associations et médias, notamment le journalisme d'enquête. Selon Bertrand Venard (2022), « mieux protéger les lanceurs d’alerte, c’est aussi sécuriser l’économie » car la corruption freine le développement économique en impliquant « de mauvaises décisions, un surcoût des achats et une diminution des investissements »

De plus les lanceurs d’alerte ont besoin d’une protection car en effet, ils peuvent être soumis à des représailles qui peuvent aller du simple licenciement à l’assassinat pour les dossiers les plus sensible. Les lanceurs d’alerte peuvent aussi être poursuivis en justice visant à les censurer et à les ruiner. Des projets législatifs ont donc été mis en œuvre afin de les protéger.

Claire Carrard (directrices de rédaction) et Luis Lema : Réfugiés afghans

Durant l’été 2021, suite à la prise de pouvoir des talibans, de nombreux afghans ont fuit leur pays car ils avaient peur des représailles. Des dizaines de milliers de personnes ont donc été évacués sans savoir où aller.

Le 30 août, l’ONU vote pour que les talibans laissent les afghans et les étrangers quitter le pays.

Quelques temps après, des négociations s’organisent autour du contrôle de l’aéroport de Kaboul.

Cependant, certaines personnes n’ont pas réussi à partir à vivent dans la clandestinité et la peur.

S’en suit une crise migratoire qui amène de nombreux pays à fermer leurs frontières comme la Russie ou les pays voisins de l’Afghanistan en Asie centrale.

Le présidant turc Erdogan se place sur le marché des réfugiés à la crise syrienne et afghane ce qui arrange l’UE. La Turquie construit ensuite un mur à sa frontière avec l’Iran pour empêcher l’affut de réfugiés tandis que l’Iran renvoie les afghans dans leur pays.

Aux États-Unis,

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