Carte mentale des auxiliaires de transports

AESMP / Commission de transport 

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III) La marchandise : Contraintes liées à la marchandise 

SOMMAIRE 

A) Généralités sur les emballages internationaux 

1)Définition

2)Emballages et assurances

3) Emballages et conditionnement

B) Les aspects juridiques de l’emballage 

1)Emballage & incoterms

2)Les conséquences d’un emballage défectueux 3)Les précautions à prendre

C) Aspects techniques de l’emballage 

1)Protections requises 

Protection physico-chimique. [pic 2]

Protection mécanique. 

Protection contre le vol. 

2) À chaque matériel une catégorie d’emballage et un indice de protection 

Les différentes catégories de matériels 

• Catégorie 1 : Berceaux et socles
• Catégorie 2 : Fardeaux/palettes
• Catégorie 3 : Caisses à claire-voie [pic 3]
• Catégorie 4 : Caisse pleine
• Catégorie 7 : Tourets de câbles
• Catégorie 8 : Produits dangereux [pic 4]

3)Le marquage Généralités. 

Les pictogrammes ISO. 

4)Liste de colisage 5)Les palettes 

A) Généralités sur les emballages internationaux 

1)Définition 

L'incidence de l'emballage sur la bonne réalisation de l'exportation est considérable. Un emballage insuffisant, mal conçu, incapable de protéger la marchandise, est cause d'avaries et provoque l'échec de l'opération commerciale. Pour être sûr de réussir ses opérations, l'exportateur se doit de définir soigneusement l'emballage adéquat, un des points essentiels de la préparation au transport. Cette démarche n'est pas évidente :  

l'emballage varie : 

-avec la nature de la marchandise à transporter  

( Ex : Tuyaux en acier à nu , ordinateurs )

-le mode de transport 

(Ex : en conteneur et navire direct , en conventionnel ou conteneur LCL et transbordement)  -l'itinéraire 

(Ex : Margarine en TC Dry jusqu’à Bakou via Poti avec variations deTempérature ) .

léger, ce qui a pour effet de diminuer la sécurité. Son prix de revient, fonction de sa sophistication, doit permettre à la marchandise de rester compétitive : comme on le voit, un grand nombre de paramètres opposés doivent être pris en compte.

On estime généralement que le coût moyen d’un emballage maritime ou aérien doit être compris entre 3 et 5 % de la valeur du produit.

Au cours de leur transport, les marchandises supportent une très dangereuse accumulation de risques, qu'il convient également de bien évaluer pour déterminer l'emballage nécessaire:  

-casse  

-déformations au cours de manutention

-avaries dues à la cohabitation avec d'autres marchandises

-aléas climatiques (humidité ,  chaleur, gel)  

-vol, etc.  

Ces risques s'accroissent dès lors que les courants commerciaux intègrent, au départ ou à l'arrivée, un pays pour lequel conditions atmosphériques, passages portuaires el transports terrestres n'apportent pas toujours la sécurité désirée.(Ex : Addis Abeba via Djibouti avec dépotage impératif au port )  

Deux moyens — et deux seulement — permettent aux opérateurs de maîtriser ces risques :  

le premier est matériel, technique et préventif ; il consiste en un bon emballage, objet du présent chapitre ; le second est de l’ordre des 

Il faut en outre soigneusement faire la distinction entre les emballages destinés aux trafics dits « domestiques », généralement terrestres uniquement, qui ne franchissent aucune frontière, et les emballages destinés aux trafics intercontinentaux. Un dernier facteur doit encore être pris soigneusement en compte : celui de l'image de marque de l'entreprise exportatrice. Le but final étant de livrer au client des marchandises en bon état, tout sinistre — qu'il soit accidentel ou non, quelque soit l'Incoterm utilisé — détériore l'image de marque du fournisseur. Un emballage efficace est donc un des facteurs-clef du renouvellement des commandes. [pic 5]

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