Le Pérugin/George Grosz
Mémoires Gratuits : Le Pérugin/George Grosz. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lulu8888 • 25 Février 2013 • 926 Mots (4 Pages) • 1 153 Vues
INTRO
Réelle ou imaginaire, déserte ou habitée, la ville est présente dans toute l'histoire de l'art, depuis les fresques de Pompéï jusqu'à nos jours.
COMPOSITION
Il s'agit d'une fresque, réalisée avec des couleurs délayées (diluer une substance dans l'eau) à l'eau et appliquées sur un mur humide, et en séchant, les couleurs se fixent.
effets de pureté formelle, caractérisée par l'équilibre serein des compositions, le dessin défini et élégant, la couleur claire et pleine de lumière. Deux scènes secondaires de la vie du Christ sont décrites à mi distance
dont le paiement du tribut sur la gauche.
La posturacteurs de la scène peuvent être regroupées en un petit nombre d'attitudes basiques
qui sont consciencieusement répétées, généralement inversées deux à deux=> souci de symétrie
Le Peruguin a apporté une avancée significative à la peinture de paysage. Le sens d'un monde infini
qui s'étend sous l'horizon est plus sensible que chez n'importe lequel de ses contemporains.
le corps se transforme soi-même en espace. multiplication de l'espace à la base de corps humains, espace/corps tendent à se rassembler et à se confondre en même temps.
THEME
Le thème de l'œuvre est celui de l'iconographie de la peinture chrétienne, sans que cela fasse référence à des écrits des Évangiles : il rassemble saint Pierre et Jésus de Nazareth en présence des autres apôtres : Jésus remet deux clefs à saint Pierre, une clef d'or et une clef d'argent, l'une pour le salut des âmes, l'autre du Paradis.
Le centre du tableau est dominé par un édifice aux formes géométriques (octogonal) qui évoque le temple de Jérusalem.
vision apocalyptique de la ville en août. Une rue d'une grande ville, cité moderne et arrogante de l'entre deux-guerres, Berlin, sûrement.
EMOTION DEGAGEE
hommes et femmes qui ont perdu leurs caractéristiques terrestres au profit d'un « air angélique très doux », dont tous éprouvaient alors le besoin.
La cohue règne. Tout semble flou, glissant. Une cohorte paniquée envahit les trottoirs, Emportés dans une course folle, macabre, ils nourrissent la ville autant qu'ils la dévorent. Pas d'apocalypse – rien de religieux là-dedans – , simplement la conclusion d'une vie moderne devenue folle et d'une guerre qui rattrape les hommes. La ville allemande vacille sur ses fondations, en instance d'implosion.
INSPIRATION ANTIQUE
passion du peintre pour le rendu architectonique d'éléments s'inspirant du monde antique, tels les deux arcs de triomphe qui sont une copie de l'Arc de Constantin et le temple central de tendance prébramantesque, qui est une transposition idéale du temple de Jérusalem.
COURANT
déploiement scénographique et spatial sans précédent où rien n'est laissé au hasard, mais où tout répond à un parfait contrôle intellectuel. interprète message idéologique en un langage à la fois clair et uniforme.
Cubiste dans l'exécution des personnages, futuristes dans les lignes de force et expressionniste, avec la vision négative et agressive de la société. forme de dadaisme
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