Gael Faye Petit pays,
Commentaire de texte : Gael Faye Petit pays,. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar emilieeee1 • 13 Mars 2022 • Commentaire de texte • 455 Mots (2 Pages) • 390 Vues
Le slam de Gael Faye, publié en 2013 dans l'EP nommé, « Des fleurs ». Ce texte parle de l'ennuie des après midi quand tu es enfant et quand tu vis au Burundi. Nous verrons donc en quoi l'évolution de l'ennuie dans l'enfance permet de comprendre l'inspiration de Gael Faye ? Nous commencerons par l'évocation de l'enfance, puis nous étudirons l'ennuie le vide, le manque, la solitude pour finir avec l'imagination.
Tout d'abord Gael Faye veut nous montrer une enfance comme la notre et y rajouter des mots spécialisé dans l'enfance au Burundi : « Hippo », « mangue », « bannaniers ». Il utilise ainsi un vocabulaire exotique pour nous plonger dans son enfance. Ses souvenirs sont actualisé et rendent les sensations actuelle comme si il était revenu en arrière avec l'utilisation du présent et non du futur « si le frigo ne bourdonne pas c'est qu'il y a coupure de courant ». On peut voir les sonotités de la langue, des rappels de son pays natale : « Le kasuku fait du boucan. »
Deuxièmement Gael Faye met en évidence l'ennuie, le vide, le manque et la solitude. On peut commencer avec le faite que le texte commence par « Cimetière », et on peut voir dans la suite du texte, le champs lexicals du « silence » : la mort , l'immobilisme avec des choses statiques, comme quand on est mort dans sa tombe. Ensuite on peut voir qu'il remarque des détails qu'il n'avait pas forcément vu s'il avait été occupé : « filament de poussière ». Pour finir le manque est évoqué avec l'emplou du négatif dans le dernier paragraphe : « pas de...pas de ... ».
Mais également avec l’absence de sa mère : « j'écris des lettres à une maman, une abscence. »
On peut remarquer qu'il ya beaucoup de virgule qui vient donc couper le texte et donne un ralentissement. Il n'y a pas de ponctuation final avec des points, qui rapporte à une idée infinie, circulaire. La seule ponctuation sont des points de suspension. Le titre du slam reprend en quelques sorte la dernière phrase « le train train quotidient ».
Pour finir l’évocation de l'imagination lié à l'ennuie. L'après midi sont des longs moment de jeu qui stimule sont imagination, il se met à imaginer toute sorte de chose et déduire des choses farfelue comme : « 14 juillet chez les fourmis ». Mais également d'autre chose moins farfelu « les routes peripheriques », « le GIJO dans le crane d'un Hippo »
Les figures de style utlisée sont des alterations par exempkre : « les kasoku font du boucan ». La personnalisation avec « Dans le ventre de la maison ». Le texte est ecrit en rimes suivis .
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