Design culinaire
Mémoire : Design culinaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar beni4949 • 12 Octobre 2014 • 387 Mots (2 Pages) • 1 867 Vues
Dans ce dossier, il sera question du design culinaire. En partant des origines de la cuisine, pour aboutir au contexte artistique d’aujourd’hui. Pour ce projet d’art appliqué il sera question de l’art culinaire associé au design de la mode.
1. Introduction
2. Historique et Style
a. Situer le mouvement artistique
-Dans le temps
-Dans l’espace
-Dans le contexte socio-économique de l’époque
-Dans le contexte artistique
b. Principales caractéristiques dans différents domaines
-Art
-Design d’espace, d’architecture, d’urbanisme
-Design d’objets artisanaux
3. Iconographie du style présenté
4. Caractéristiques du style et analyse d’un objet
a. Analyse d’une pièce montée
b. Caractéristiques du style
5. Cahier de tendance
6. Préparation du projet
a. Croquis, annotations, analyse
b. Croquis de recherche
7. Conclusion
-Explication du projet et justification du travail
Mais la confusion entre design culinaire et cuisine est d’autant plus grande, lorsque des Chefs commeFerran Adria, Michel Bras ou Pierre Hermé transcendent le plaisir de dégustation, en empruntant les voies du design, mais n’est-ce pas la démarche que tous les Chefs devraient avoir? A contrario le travail d’Elise Labide et ses « Tomates gigognes » pourrait figurer aux côtés des multiples réinterprétations de l’incontournable recette tomate-mozarelle… Dès lors, où se trouve la limite entre design culinaire et cuisine? Le designer n’a pas vocation d’être cuisinier ou inversement, son rôle est de questionner la cuisine et ses usages, pour apporter des réponses justes.
D’une apparente légèreté, le Design culinaire, au sens noble du terme bien sûr, soulève des questions de fond. L’exemple de Ditte Kuijpers et son « Van Brood word je groot », pourrait être juste amusant, mais en intégrant la confiture au cœur du pain, il faut regarder plus loin que le sens premier de sa démarche pour comprendre la réflexion sous-jacente autour d’un « petit déjeuner » qui tend à disparaître de nos habitudes alimentaires. Idem pour Sebastien Oddi et son « Mange 2 », qui réfléchit sur le pique-nique et le problème de l’emballage… La limite entre Designer culinaire et Chef semble mince, mais si le premier se présente comme un incubateur d’idées, le Chef ne devrait-il pas être seul maître à bord, et pousser la réflexion de sa cuisine, plus loin que l’esthétique de son assiette? En a-t-il l’envie ou les moyens de le faire… vaste question, sur laquelle le témoignage de Germain Bourré lève le voile. Pour plus d’informations
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